Pourquoi j'aime le GangBang
Ce qui me pousse vers le gang bang Pourquoi une femme comme moi, mariée et comblée, rêverait de se retrouver entourée d’hommes prêts à me posséder ? Et pourquoi mon mari y consentirait-il avec un sourire en coin ? Ne soyez pas choqués : ce fantasme hante bien plus de femmes qu’on ne l’imagine. Pourtant, rares sont celles qui l’avouent, écrasées par le poids des regards moralisateurs. Les hommes, eux, n’hésitent pas à nourrir cette idée dans leurs pensées les plus secrètes. Entre discussions avec des amies et introspection, j’ai déterré les raisons qui font naître ce désir brûlant. Une aura de séduction irrésistible Quel délice de se sentir désirable à en perdre la tête ! Dans un gang bang où chaque homme respecte mes envies, je deviens une icône de chair, une femme que tous convoitent avec une ardeur presque palpable. Même si on le cache parfois, ce besoin d’être vue comme un objet de désir absolu est universel. Reine d’un instant fiévreux Être le pivot de cette danse charnelle, l’unique étoile autour de laquelle tout gravite, voilà une ivresse rare. Quand plusieurs hommes me veulent en même temps, mon corps s’embrase. Qu’ils soient trois ou dix, je règne au cœur de ce tourbillon, et cette centralité attise mes fantasmes les plus intenses. Un retour aux instincts sauvages Dans le règne animal, les mâles se déchirent pour conquérir une femelle unique, prêts à tout pour la posséder. Nous jouons les êtres raffinés, mais nos pulsions primitives restent tapies en nous. Le gang bang ravive cette sauvagerie : je suis celle qu’ils se disputent, celle qui attire leurs assauts, une victoire charnelle à l’état brut. Une puissance entre mes mains Dans ce jeu – au LuX, par exemple –, je suis à la fois soumise et souveraine. Un mot, un geste, et tout s’arrête. Je décide, sans justification. Mon mari, Monsieur R veille sur moi, gardien attentif de mes limites. Cette mise en scène me donne un pouvoir enivrant. Un chaos délicieusement indécent Le gang bang, c’est le vice poussé à son paroxysme – peut-être seul un délire orgiaque le surpasse. Des langues qui explorent chaque recoin de mon intimité, des queues à caresser et à prendre, des pénétrations multiples qui se croisent, des capotes abandonnées, du sperme qui jaillit en éclaboussures chaudes – sur ma peau, mon visage, dans ma bouche. Les corps suent, les muscles se tendent, les soupirs se mêlent au désordre. Sans l’avoir vécu, on ne peut saisir cette perversion sensuelle. Et mon mari, pourquoi accepte-t-il que je me fasse prendre sous ses yeux ? Parce que c’est son fantasme autant que le mien. Voir ma débauche le rend fou de désir – et oui, c’est torride. Il aime faire de moi l’objet de ses fantasmes, me mettre en scène au milieu d’hommes me désirant tout en me respectant. Et vous, avez-vous déjà goûté à ça ?
Piment_Parisien
Il était, il y a quelques temps encore, inconcevable que le mot GB rime avec couple ou sentiment. En papillonnant sur ce site, en participant à quelques GB, j’ai découvert des couples unis et amoureux, mais tellement pervers. Melle C, votre corps ne demande qu’à être souillé par un sexe érigé avec fierté. Quel corps bandant!
Mlle C
@ Piment_Parisien - Il est bien compliqué pour beaucoup de comprendre que ce genre de moment vécu en couple me rend encore plus amoureuse de mon mari, Monsieur R. Les GB qu'il organise me permettent de vivre des moments fous, hors du temps, avec des hommes bienveillants, sains, et ayant de bien beaux outils de plaisir...