Récit : Tout ça pour une Pizza !
Bien avant que Monsieur R ne crée le LuX, sa compagne et lui, plongés dans l’exploration du monde libertin, avaient été contactés par Léa et Thomas, un couple novice dans cet univers. Leur curiosité, mêlée d’une nervosité brûlante, les avait captivés lors d’une première rencontre autour d’un verre. Entre rires et confidences, ils avaient partagé leur fantasme d’une séance photo coquine, sans connaître de photographe pour sublimer leur audace naissante. Cette idée s’était ancrée dans l’esprit de Monsieur R.
Quelques semaines plus tard, il leur proposa un dîner chez eux, avec une surprise : son ami d’enfance, Arnaud, un photographe légendaire dans le milieu libertin, serait présent. Ses clichés saisissaient le désir à l’état pur, transformant chaque instant en une œuvre de débauche. Léa et Thomas acceptèrent, leurs yeux scintillant d’anticipation.
Ils arrivèrent en fin d’après-midi, une énergie électrique dans leurs gestes. Léa était une vision : une silhouette sculpturale, un sourire provocant, et une timidité qui laissait deviner une coquine prête à exploser. Thomas observait, fasciné, mais encore inconscient de l’audace que sa femme allait révéler. Arnaud transforma le salon en studio, et la séance photo débuta. Sous les flashes, Léa se révéla. Ses poses, d’abord hésitantes, devinrent obscènes, ses yeux lançant des défis torrides. La compagne de Monsieur R, complice, l’encourageait, et l’atmosphère s’embrasa, saturée de promesses indécentes.
Après deux heures de prises de vue, l’énergie était à son zénith. Monsieur R proposa une pause : « Tout le monde a faim ? Des pizzas, ça vous tente ? » Les « oui » ne se firent pas attendre. Il partit à la pizzeria mais revint les mains vides, laissant le pizzaiolo les apporter. De retour, il sentit l’ambiance lourde de désir brut. Un sourire aux lèvres, il se tourna vers les femmes : « Les filles, envie de jouer ? » Leurs yeux s’enflammèrent, un mélange de stress et d’excitation animale. Il poursuivit : « Le pizzaiolo arrive avec les pizzas. Il est bel homme, et les pizzas ne sont pas encore payées. À vous de jouer pour nous faire offrir ces pizzas… »
Adrien, Thomas et Monsieur R prirent place sur la terrasse, lumières éteintes, pour observer la scène en spectateurs avides. Thomas, les yeux écarquillés, n’en croyait pas ses yeux, jamais il n’avait imaginé que sa femme, Léa, oserait se lancer dans un tel jeu.
Lorsque le pizzaiolo sonna, tenant cinq cartons fumants, les filles entrèrent en jeu avec une audace qui fit grimper la température à l’extrême. Léa, d’abord réservée, se laissa consumer par l’assurance de la compagne de Monsieur R. Elles l’accueillirent avec des sourires qui ne trompent pas, leurs corps frôlant le sien. La compagne de Monsieur R, dévergondée, déboutonna sa chemise, tandis qu’elle susurrait des obscénités. Léa, en feu, arracha sa blouse, dévoilant ses seins lourds dans une dentelle noire, ses tétons durs comme des perles, et sa jupe relevée laissant entrevoir sa chatte trempée, luisante, son clitoris gonflé palpitant sous la lumière, son cul déjà entrouvert par l’excitation.
La séduction bascula dans une orgie d’une indécence crue. Les filles s’agenouillèrent devant le pizzaiolo, leurs bouches affamées s’approchant de son entrejambe. La compagne de Monsieur R, vorace, dézippa son jean, libérant une queue raide et palpitante. Elle l’engloutit, sa langue tourbillonnant autour de son gland, ses lèvres s’étirant pour l’avaler jusqu’à la gorge, tandis que Léa, les joues en feu, léchait ses couilles avec des gémissements de chienne, ses doigts écartant sa propre chatte dégoulinante, son jus coulant sur ses cuisses, son cul béant frémissant d’envie. Elles alternaient, leurs langues se mêlant sur son sexe, leurs salives se mélangeant dans un ballet pornographique, leurs regards se croisant avec complicité. Le pizzaiolo, au bord de l’extase, grognait, ses mains empoignant leurs cheveux. Thomas, pétrifié, fixait Léa, son incrédulité se mêlant à une fascination grandissante face à une facette inconnue de sa femme.
Les filles, insatiables, poussèrent le pizzaiolo au sol, son corps musclé s’étalant sur le tapis. Léa, en transe, grimpa sur lui, écartant ses cuisses pour s’empaler sur sa queue, sa chatte trempée l’engloutissant avec un cri de plaisir, ses lèvres intimes s’ouvrant largement autour de lui, son cul rebondi tressautant à chaque coup de reins, son anus palpitant sous l’effort. La compagne de Monsieur R, insatiable, s’installa sur son visage, sa chatte ruisselante pressée contre sa bouche, son clitoris gonflé frottant contre sa langue, son cul ouvert luisant de mouille. Le pizzaiolo, déchaîné, la léchait comme un affamé, sa langue plongeant dans ses replis humides, son nez enfoui dans son anus, tandis qu’elle se cambrait, ses seins lourds dansant à chaque spasme. Les filles, face à face, s’embrassèrent, leurs langues s’enroulant, leurs doigts griffant leurs tétons, leurs chattes dégoulinant sur le pizzaiolo.
Le feu monta encore. Les filles descendirent du pizzaiolo et s’effondrèrent sur le sol dans un 69 obscène. Léa, à quatre pattes, plongea sa langue dans la chatte de la compagne de Monsieur R, léchant son clitoris gonflé, buvant son jus qui coulait à flots, ses doigts écartant son cul pour y enfoncer sa langue. La compagne de Monsieur R, sous elle, écartait les fesses de Léa, sa langue s’enfonçant dans son anus ouvert, ses doigts baisant sa chatte trempée, ses parois palpitantes serrant ses phalanges. Leurs corps convulsés, leurs cris étouffés par leurs bouches collées à leurs sexes, elles se dévoraient avec une frénésie de nymphomanes, leurs chattes et leurs culs exposés, luisants de mouille et de salive. Le pizzaiolo, hypnotisé, se releva, sa queue palpitante. Il prit Léa d’abord, la pénétrant par derrière, sa chatte s’ouvrant comme une fleur sous ses coups brutaux, son cul claquant contre son bassin, son anus accueillant un doigt. Puis il passa à la compagne de Monsieur R, la soulevant pour la baiser debout, ses mains écartant ses fesses, tandis que sa chatte ruisselante enserrait sa queue. Les filles, entre deux pénétrations, se caressaient, leurs doigts plongeant dans leurs chattes trempées, leurs langues traçant des sillons sur leurs culs offerts. Thomas, toujours sur la terrasse, restait bouche bée, son esprit incapable de concilier l’image de sa femme réservée avec cette déesse dépravée qui se donnait sans retenue.
Le climax approchait. Les filles s’agenouillèrent devant le pizzaiolo, leurs bouches grandes ouvertes, leurs langues tendues, leurs yeux brûlants de défi. Il se branla devant elles, son poing serrant sa queue gonflée, son souffle rauque emplissant la pièce. La compagne de Monsieur R, dépravée, empoigna les seins de Léa, tordant ses tétons, tandis que Léa, en chaleur, enfonça trois doigts dans sa propre chatte, son jus coulant sur le sol. Avec un rugissement, le pizzaiolo explosa, son sperme giclant en jets brûlants sur leurs lèvres, leurs langues, leurs visages. Elles l’avalèrent, leurs bouches se rejoignant pour un baiser dégoulinant, leurs doigts ramassant le foutre pour le lécher, leurs chattes trempées pulsant encore de désir.
Le pizzaiolo, vidé, leur tendit les cinq pizzas offertes, un sourire béat sur le visage. De retour sur la terrasse, les trois hommes éclatèrent de rire, partageant les pizzas dans une ambiance survoltée. Léa, les joues en feu, rayonnait d’une assurance nouvelle. Thomas, encore sous le choc, ne pouvait détacher ses yeux d’elle, sa stupéfaction mêlée d’une admiration nouvelle pour cette femme qu’il redécouvrait. Cette soirée, bien avant la création du LuX, avait basculé dans un tourbillon de luxure crue, un souvenir incandescent gravé dans la chaleur d’une nuit d’été.
Léa apprit quelques mois plus tard que ce pizzaiolo était en réalité un complice de Monsieur R qui ne laissait jamais rien au hasard…
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