Messieurs, je veux votre langue entre mes jambes (par Mlle C)
Je suis Mademoiselle C, et dans l’ombre brûlante de l’intimité, mon corps se livre à des plaisirs si crus, si dépravés, qu’ils me consument jusqu’à l’âme. Permettez-moi de vous confesser, sans pudeur, ce que je ressens lorsque des lèvres voraces et des langues impudiques s’emparent de mes zones les plus intimes, là où le désir explose et me noie dans une extase indécente. Quand une langue chaude, humide, obscène, s’aventure sur ma petite chatte lisse et palpitante, c’est une tornade de sensations qui me déchire. Le cunnilingus, cet art d’une lubricité insatiable, fait jaillir des éclairs de plaisir qui me traversent de part en part. Chaque coup de langue, chaque succion avide sur mon clitoris gorgé et frémissant, me rend folle, me laissant trempée, dégoulinante d’une cyprine abondante qui ruisselle entre mes cuisses comme une offrande à cette bouche insatiable. Ma chatte, luisante, béante, s’ouvre sans vergogne sous ces caresses, et je sens mes lèvres intimes pulser, s’écarter, implorer davantage. Les lèvres qui m’aspirent, la langue qui tournoie, vorace, insatiable, m’arrachent des gémissements. Mes hanches se tordent, se cambrent, pressant ma chair humide contre cette bouche qui me dévore, et je sens mon corps entier vibrer, mes seins se tendre, mes tétons durcir jusqu’à la douleur, tandis que des vagues de chaleur me submergent, me laissant pantelante, ruisselante, à la merci de ce plaisir obscène. Et puis, il y a l’anulingus, cet acte indécent, où la frontière entre tabou et adoration s’effondre. Quand des lèvres s’aventurent sur cet anneau secret, si sensible, si défendu, c’est une explosion de sensations qui me fait perdre pied. La langue, audacieuse, impérieuse, lèche et taquine cette chair délicate, et je sens mon corps s’embraser, chaque terminaison nerveuse s’allumer dans un feu primal. Chaque mouvement, chaque pression humide, fait naître des spasmes qui me secouent, me laissant haletante, le cul luisant de salive et de désir. Je me cambre, offerte, exposée, tandis que cette langue indécente explore, s’enfonce, me faisant gémir plus fort, mon corps ruisselant de sueur et de cette moiteur coupable qui trahit mon plaisir. Cette zone, si intime, devient le centre d’un ouragan de sensations, et je m’y noie, dégoulinante, chaque frisson me rapprochant d’une extase qui me déchire. Dans ces instants, tout repose sur une lenteur exquise, une délicatesse qui frôle l’indécence par son contrôle. Chaque mouvement est un effleurement calculé, une caresse d’une douceur presque cruelle, sans hâte ni brutalité, comme si chaque seconde était sculptée pour prolonger cette torture délicieuse. La langue qui glisse sur mon sexe ou s’attarde sur mon anus trace des sillons lents, paresseux, d’une précision qui fait chanter mes nerfs. Cette retenue, cette patience, amplifie chaque sensation, chaque frôlement devenant une décharge électrique qui fait pulser ma chair, tremper mes cuisses d’une moiteur brûlante. Mon corps, inondé, s’abandonne à ce rythme, et je sens chaque goutte de mon plaisir couler, épaisse, chaude, comme une preuve de ma reddition totale à cette extase. Dans ces moments, je suis un brasier, une tempête de chair et de luxure, où chaque goutte de plaisir qui s’écoule de moi, chaque pulsation de mon corps, hurle mon abandon. Moi, Mademoiselle C, je me vautre dans cette débauche, emportée par ces caresses indécentes, par ces langues qui me plient et me brisent dans une danse érotique où chaque sensation est un cri, chaque frisson une capitulation.
Mandrake75
Quelle ôte à la gourmandise perverse ! Cela donne terriblement envie de vous dévorer encore et encore.
Krock40
Ce texte est divinement bien écrit et délicieusement excitant ! Ça donne envie d'y goûter...
Momoaly
Belle l'amour
Yoyo
Très beau texte. L’épicurien que je suis ne peut que saliver à l’évocation de ce menu de fête.
Fred
Belle tournure de phrases et magnifique vocabulaire décliné ici pour transmettre les sensations et le ressentit que cet acte évoque !!!Digne d'un roman sulfureux. Ne reste qu'à découvrir un jour Melle C afin de mettre en perspective ce qu'elle narre. La sagesse et la patience sont de mise. Qui sait ce que l'avenir réserve.