Pourquoi j’aime, messieurs, que vous inondiez ma bouche
Je suis Mlle C, adepte des soirées du LuX, où les désirs s’éveillent dans un tourbillon de soie et de vice. Mon plaisir, messieurs, est une confession sulfureuse : j’aime m’agenouiller devant vous, bouche béante, mes yeux plongés dans les vôtres, quand vous, gentlemen vicieux et élégants, déversez votre sperme en jets brûlants sur ma langue, dans ma bouche, jusqu’à ce que je sois souillée, débordante, et comblée. Ce moment indécent, où je me sens délicieusement profanée, est mon extase, et je vais vous dire pourquoi je m’y abandonne. À genoux, je vous attends, lèvres écartées comme une offrande impudique, mon regard défiant le vôtre, chargé de promesses coquines. Quand vous lâchez prise, votre semence jaillit en salves torrides, éclaboussant ma langue, envahissant ma bouche d’un flot épais, salé, qui pulse de votre désir. J’aime en avoir plein, sentir ce déluge tiède remplir ma gorge, peser sur ma langue, déborder mes lèvres. Je vous fixe, savourant chaque jet, chaque goutte qui gicle, chaque spasme qui trahit votre abandon. Et quand ma bouche ne peut plus tout retenir, je laisse ce nectar visqueux couler, un ruisseau luisant qui glisse sur mes lèvres, dégouline sur mes seins, maculant ma peau sous vos yeux captivés. Cette souillure, orchestrée par vos mains raffinées et vos regards pervers, est mon triomphe, à la fois reine et esclave de vos vices. Dans cette posture, je suis à la fois soumise et toute-puissante. À genoux, je savoure la profanation que vous, gentlemen vicieux, m’offrez avec une élégance perverse. Vos jets brûlants, votre sperme, sont une offrande que je prends avec une gourmandise dépravée. J’aime la sensation obscène de ma bouche pleine, le goût âcre qui s’attarde, la chaleur qui me noie comme une vague interdite. Vous pensez me dominer, mais c’est moi qui vous tiens, moi qui vous pousse à ce point de rupture où vous m’inondez, et je m’en délecte, les yeux rivés sur votre regard chaviré, maîtresse de votre plaisir. Et pourtant, dans cette indécence, il y a une intimité qui me consume. Ce sperme, si brut, si personnel, c’est votre essence livrée sans filtre, un don que vous me faites dans un instant de vérité nue. Quand il gicle, quand il coule sur mes lèvres, j’aime être celle qui reçoit tout, qui se laisse souiller par votre vice élégant, qui me fait me sentir vivante, libre, et délicieusement pervertie. Au LuX, où l’élégance s’abandonne au péché, je ris des âmes pudiques qui s’effarouchent. « Souillée ? » murmurent-elles. Je leur lance un sourire narquois : « Oui, messieurs, souillée par votre vice raffiné, et j’en redemande, car c’est là que je brille. » Ce n’est pas un acte, c’est une symphonie sauvage, un chef-d’œuvre où chaque jet peint ma langue, où chaque filet sur mes lèvres grave une ode au désir brut. Alors, messieurs, si vous osez croiser mon chemin au LuX, trouvez-moi à genoux, bouche ouverte, prête à vous accueillir. Fixez mes yeux pendant que vous m’inondez, pendant que votre sperme coule sur mes lèvres…
Steeve85_92
Très beau texte. Hâte de vous découvrir et vous offrir mon élixir, yeux dans les yeux. Bisouxxx
Hugwill
Chère Melle C, Quelle délicieuse lettre, je serais flatté de pouvoir abondamment vous contenter, si ma candidature au Lux devait un jour être retenue. D'ici là, profitez-bien des castings haut de gamme de la maison. Hugwill
Mlle C & Mr R
@ Hugwill - Si vous savez faire de belles reserves, il faudrait nous faire signe... ;)