Publié le 08 mai 2025
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Il y a des désirs qui vous saisissent, vous consument, vous arrachent à la bienséance. Moi, Mademoiselle C, je ne me contente pas de les écouter : je les vis, je les dévore. Et parmi eux, le gangbang, ce brasier où je m’abandonne, où je m’embrase, où je règne. Pourquoi ? Parce que dans ce tourbillon de corps, de sueur et de regards affamés, je suis plus vivante que jamais, délicieusement indécente, et libre comme jamais.

Une ivresse sans retenue

Le gangbang, ce n’est pas un simple caprice charnel. C’est une plongée dans l’excès, un défi aux limites du corps et de l’esprit. Quand je me tiens là, au centre, entourée de désirs qui pulsent comme un cœur battant, je ne suis plus une femme sage, corsetée par les attentes. Je suis une tempête, une vague, une reine qui savoure chaque frôlement, chaque souffle, chaque regard qui me réclame. C’est indécent, oui, et c’est précisément ce qui m’enivre : cette liberté de m’offrir, de tout prendre, de tout donner, sans un gramme de honte.

Chaque instant est une transgression, un pied-de-nez aux murmures qui voudraient me ranger dans une boîte. Je ne m’y plie pas. Je m’y refuse. Et dans cet espace où les corps s’entrelacent, où les règles s’effacent, je trouve une vérité brute : je suis faite pour le plaisir, le mien, le leur, celui qui brûle tout sur son passage.

Le trône du consentement

Ne vous y trompez pas : cette indécence est la mienne, choisie, sculptée par mes mains. Le gangbang n’existe que parce que je l’autorise, parce que je l’ordonne. Chaque regard, chaque toucher, chaque soupir est là parce que je l’ai voulu. Le consentement, c’est mon sceptre, ma couronne. Je fixe les règles, je trace les limites, et si je décide de les repousser, c’est moi qui tiens les rênes.

Cette puissance, c’est celle d’une femme qui sait ce qu’elle veut et qui n’a pas peur de le prendre. C’est dire "oui" à ce qui me fait vibrer, et "non" à ce qui ne me convient pas. C’est orchestrer une danse où je suis à la fois la muse et la chorégraphe, où chaque mouvement est un acte de souveraineté. Et dans cette confiance absolue, je m’autorise à être vulnérable, à me perdre dans la chaleur, à m’oublier dans l’extase.

Un festin des sens

Le gangbang, c’est un festin où je suis à la fois la convive et le plat principal. Les sens s’affolent, se gorgent, explosent. La chaleur d’une main qui effleure, la pression d’un corps contre le mien, le parfum entêtant de la sueur et du désir. Les murmures, les gémissements, les silences lourds comme une promesse. Tout se mêle, tout s’amplifie, jusqu’à ce que le monde disparaisse, ne laissant que cette pulsation, ce rythme primal qui bat en moi.

C’est indécent, et alors ? C’est dans cette débauche que je me sens entière. Mon corps n’est plus un simple enveloppe : il est un brasier, un océan, un territoire où chaque caresse est une conquête. Je ne me contente pas de ressentir : je m’y noie, je m’y brûle, je m’y réinvente.

Rire au nez des juges

Ils diront que c’est trop, que c’est scandaleux, que ce n’est pas "une chose qu’on fait". Ils diront que je devrais rougir, me cacher, me taire. Mais moi, Mademoiselle C, je ris à leurs mines pincées. Je ne vis pas pour leurs regards, leurs règles, leurs petites cages dorées. Je vis pour moi, pour la flamme qui me traverse, pour le frisson qui me fait trembler.

Le gangbang, c’est mon acte de rébellion, ma déclaration d’indépendance. C’est dire au monde que mon plaisir m’appartient, que mon corps est à moi, que mes désirs ne s’inclinent devant personne. Et si cela choque, tant mieux. Que les bien-pensants s’étouffent avec leurs jugements : moi, je danse dans les flammes.

Une ode à l’audace

Si je pose ces mots, ce n’est pas pour convaincre ou justifier. C’est pour crier haut et fort que nos désirs, même les plus indécents, méritent d’être vécus. À vous qui lisez, je ne demande pas d’aimer ce que j’aime. Je vous demande d’écouter ce qui vous appelle, ce qui vous fait frémir, et d’oser. Que ce soit un gangbang, un poème griffonné dans la nuit, ou un cri dans le vent, trouvez votre feu et jetez-vous dedans.

Moi, Mademoiselle C, j’ai choisi le gangbang comme mon brasier, mon royaume, mon indécence. Et dans chaque instant où je m’y abandonne, je me découvre plus forte, plus libre, plus moi.

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