Récit : Chez le Kiné

C’était un samedi après-midi maussade, la pluie martelant les fenêtres de leur appartement. Monsieur R. était assis à la table de la cuisine, savourant un café avec nonchalance, sa compagne à ses côtés.

À 32 ans, elle avait un corps ferme et provocant, des cheveux blonds au carré qui soulignaient un visage audacieux. L’air frémissait d’une tension sexuelle palpable. Monsieur R. posa sa tasse, la fixa avec un sourire raffiné. « Va t’habiller comme une pute, » dit-il, sa voix portant une promesse. « Nous sortons » Léa sentit son pouls s’accélérer, un frisson d’excitation la traversant. « Où allons-nous ? » demanda-t-elle. Il esquissa un geste évasif. « Tu verras bien. »

Elle se glissa dans son dressing avec un sourire complice, choisissant une robe rouge moulante, si courte qu’elle frôlait l’indécence, un trench beige pour une touche de mystère, et des bottines noires à talons hauts qui donnaient à ses pas une cadence provocante. Sous la robe, un string noir minimal, à peine une barrière, comme il l’appréciait. Quand elle réapparut, il la détailla avec une lueur d’approbation dans les yeux. « Sublime, » murmura-t-il, puis il lui tendit la main avec une assurance élégante, l’entraînant dehors. Ils prirent la voiture, roulant sous la pluie pendant dix minutes avant qu’il ne se gare dans un parking souterrain du centre-ville. Léa sentit sa chatte palpiter, imaginant un moment furtif, mais il la guida dehors en disant : « Suis-moi. »

La pluie mouillait son trench alors qu’ils marchaient, la robe rouge se devinant à chaque pas, ses talons résonnant sur le pavé humide. Devant un immeuble discret, Monsieur R. s’arrêta, son regard accrochant une plaque : Kinésithérapeute – 2e étage. Il poussa la porte, et ils pénétrèrent dans un hall silencieux. La salle d’attente était vide, chaises alignées, une odeur légère de lavande flottant dans l’air. Léa le fixa, intriguée. « Que faisons-nous ici ? » murmura-t-elle. Il s’approcha, ses doigts effleurant ses hanches. « Déshabille-toi, » ordonna-t-il, son ton ferme mais sophistiqué. « Ici et maintenant. »

Elle esquissa un rire provocant. « Vraiment, ici ? » Il planta ses yeux dans les siens, une lueur de désir raffiné dans le regard. « Ne me fais pas attendre. » Elle sentit son string s’humidifier, et avec un haussement d’épaules, elle laissa tomber le trench au sol, puis ôta la robe rouge, exposant ses seins fermes, ses tétons tendus, et le tissu noir collé à sa chatte dégoulinante. Monsieur R. s’approcha, ses mains saisissant ses hanches avec une poigne assurée. « Tu es un délice, » murmura-t-il, puis il s’agenouilla, écartant ses cuisses avec élégance. Sa langue plongea dans sa chatte, léchant ses lèvres humides avec une voracité maîtrisée, savourant son clitoris jusqu’à la faire gémir d’un plaisir rauque.

Il remonta, ses mains caressant ses fesses, et sa langue explora son cul, le léchant en cercles précis, humidifiant son trou serré pendant qu’elle se cambrait, un soupir indécent lui échappant. « Cela ne semble pas te déranger » dit-il, et elle hocha la tête, essoufflée. « Oui, encore. » Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvrit, et un homme apparut – grand, la quarantaine, cheveux poivre et sel, blouse blanche ouverte sur un torse sculpté. Le kiné. Il les observa avec un calme assuré, comme s’il était dans la confidence, un sourire discret aux lèvres. Monsieur R. se redressa, posant une main possessive sur l’épaule de Léa. « Entrons » murmura-t-il, la guidant avec une autorité raffinée.

Léa, quasi nue, entra, son corps vibrant d’anticipation. Une table de massage trônait au centre. Elle s’étendit, écartant les jambes comme une invitation, son cul et sa chatte exposés. Le kiné ôta sa blouse, tandis que Monsieur R. arrachait son string avec un geste précis, le laissant tomber au sol. Le kiné s’agenouilla entre ses cuisses, sa langue plongeant dans sa chatte trempée, la dévorant avec une faim virile, pendant que Monsieur R. léchait son cul, sa langue s’enfonçant légèrement dans son trou. « Tu es exquise, » grogna-t-il, et elle gémit, sa mouille coulant sur la table alors qu’un premier orgasme la faisait frissonner.

Monsieur R. se releva, son sexe dressé devant elle. « Prends-moi en bouche » ordonna-t-il avec une élégance dominatrice, et elle s’y livra avec une avidité indécente, ses lèvres s’enroulant autour de son gland, le suçant profond jusqu’à ce que sa salive coule sur ses couilles. « Superbe, » murmura-t-il, une main dans ses cheveux, et elle passa au kiné, le suçant avec la même fougue, sa langue dansant sur son manche pendant que ses doigts glissaient dans sa chatte pour se caresser. Elle alterna, la bouche pleine, savourant leur goût, jusqu’à ce qu’ils la guident à nouveau sur la table.

Le kiné plongea ses doigts dans sa chatte béante, la doigtant avec trois doigts qui claquaient dans sa mouille, tandis que Monsieur R. glissa deux doigts dans son cul, l’ouvrant avec une assurance sophistiquée. Un second orgasme la secoua, ses trous palpitant sous leurs mains. Puis le kiné se glissa sous elle, sa queue s’enfonçant dans sa chatte avec une lenteur possessive, et Monsieur R. aligna son sexe sur son cul, le pénétrant en rythme. La double pénétration la fit gémir fort, ses deux trous comblés, son cul s’élargissant sous leurs va-et-vient, sa chatte dégoulinant autour du kiné.

Ils la firent pivoter, le kiné dans son cul, Monsieur R. dans sa chatte, leurs queues s’accordant dans une baise indécente. Son anus se dilatait encore, sa chatte ruisselait, ses cuisses frémissant sous l’assaut. Ils la mirent à genoux, et Monsieur R. murmura avec une autorité raffinée : « Montre nous ce que tu souhaites » Elle obéit, suçant leurs queues l’une après l’autre avec une obscénité débridée, jusqu’à ce qu’ils se placent côte à côte. « Inondez-ma bouche » dit-elle, tendant la langue, prête.

Ils se branlèrent devant elle, leurs sexes pulsant, et jouirent ensemble, un flot épais giclant au fond de sa gorge. Le sperme remplit sa bouche, débordant sur ses lèvres. Elle déglutit, goûtant leur plaisir avec délice, le reste coulant sur son menton et ses seins alors qu’elle haletait, comblée. Son anus restait ouvert, palpitant des doubles pénétrations, son corps luisant de sueur et de leurs fluides.

Ils s’écartèrent, la laissant affalée au sol, nue et satisfaite, ses cheveux collés, son cul dilaté et sa chatte encore frémissante des quatre orgasmes. Monsieur R. lui tendit son trench avec un sourire élégant. Elle se releva, le corps lourd, sous le regard amusé du kiné qui remettait sa blouse.

Dehors, la pluie s’était calmée. Léa marcha jusqu’à la voiture, son anus sensible, sa gorge marquée par leur semence. Dans le silence du retour, elle vibrait encore de cet après-midi de débauche raffinée, orchestrée par Monsieur R.

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