Publié le 10 avril 2025
0 Commentaires

Clara avait cette allure qui captivait sans alerter : une silhouette élancée, des cheveux châtains tombant en vagues soignées sur ses épaules, et un sourire discret qui ne laissait rien présager de sa nature profonde. Sous ses tailleurs impeccables et son allure de femme posée, personne n’aurait soupçonné la salope tapie en elle, avide de se perdre dans des étreintes crues. Julien, son mari depuis dix ans, connaissait ce feu secret. Il l’avait vu s’allumer dans leurs nuits, quand elle murmurait ses envies de se faire prendre sauvagement par un autre. Lui, partagé entre excitation et terreur, sentait son sexe durcir à ces mots, mais l’idée de la voir sous un inconnu le glaçait de jalousie.

Ils en avaient longuement parlé, leurs désirs s’entrechoquant comme des lames, jusqu’à ce que Clara, avec une audace feutrée, suggère une tierce personne pour orchestrer leur fantasme. Julien, après un silence tendu, accepta, à condition de ne jamais être témoin de la scène. Trouver un tel complice ne fut pas immédiat. Une nuit, alors qu’ils parcouraient des forums libertins en ligne, cachés derrière l’écran de leur chambre, Julien tomba sur un fil de discussion évoquant Monsieur R., un homme mystérieux réputé pour ses mises en scène raffinées et perverse. Un pseudonyme laissait un contact cryptique : une adresse e-mail discrète. Clara, le souffle court, envoya un message, et deux jours plus tard, une réponse laconique arriva, accompagnée d’un numéro de téléphone. Julien appela, la gorge nouée, et une voix grave confirma leur rendez-vous.

Monsieur R. les reçut dans un appartement aux murs sombres. Clara, avec une retenue qui masquait mal son excitation, expliqua : elle voulait être baisée sans merci par un inconnu, mais Julien refusait de la voir ainsi. Monsieur R. esquissa un sourire calculateur. « Laissez-moi faire, » dit-il, sa voix grave scellant leur pacte. « Madame viendra seule. Je m’occupe du reste. »

Le jour venu, Clara se prépara avec une précision presque innocente. Elle choisit une robe grise ajustée, soulignant ses hanches et la courbe de ses seins, et des escarpins noirs discrets, rien qui ne trahît ses intentions. Julien l’embrassa en silence, ses mains crispées sur sa taille, un mélange de désir et de crainte dans les yeux. « Reviens-moi, » murmura-t-il, et elle partit, un bandeau de soie noire glissé dans son sac, suivant les ordres de Monsieur R.

Elle frappa à la porte d’un appartement discret dans une ruelle parisienne. Monsieur R. l’accueillit, vêtu d’un costume sombre, une lueur perverse dans le regard. « Bonjour, Clara, » murmura-t-il, son ton caressant comme une promesse obscure. Il la guida vers une chambre où une lumière rougeâtre dansait sur les murs, un lit imposant occupant l’espace comme un trône de débauche. « Mettez ceci, » ordonna-t-il, lui tendant le bandeau. Elle noua le tissu sur ses yeux, ses doigts délicats tremblant légèrement, et l’obscurité l’enveloppa, aiguisant ses sens.

« Vous allez être prise ce soir, » annonça Monsieur R., sa voix frôlant son oreille, « par un homme que vous ne verrez pas. Laissez la salope en vous s’exprimer, sans retenue. » Clara sentit une vague de chaleur envahir son bas-ventre, son sexe palpitant sous sa robe sage. Des pas lourds résonnèrent, une présence masculine s’approcha, et des mains rudes saisirent ses poignets pour la pousser vers le lit. Elle s’y affala, sa robe retroussée jusqu’à la taille, révélant des cuisses fermes et une culotte de dentelle déjà trempée.

L’homme – cet inconnu qu’elle imaginait brut, anonyme, insatiable – resta silencieux, son souffle rauque comme seul indice. Ses doigts arrachèrent sa culotte d’un geste sec, exposant sa chatte luisante et son cul rond, vierge de tout regard jusqu’alors. Il la força à écarter les jambes, ses mains calleuses saisissant ses cuisses pour les ouvrir grand, et plongea son visage entre ses lèvres gonflées. Sa langue lécha sa fente avec une voracité brutale, suçant son clitoris jusqu’à ce qu’il pulse sous sa bouche, tandis que ses doigts écartaient ses chairs humides, fouillant sa chatte béante. Clara gémit, ses hanches se tordant sous l’assaut, sa mouille coulant en filets sur son menton alors qu’il la dévorait, ses grognements étouffés vibrant contre son sexe trempé.

Il la retourna à quatre pattes, ses mains écartant ses fesses avec une brutalité contenue, dévoilant son anus serré et sa fente dégoulinante. Il cracha sur son cul, un filet tiède glissant entre ses chairs, et enfonça un doigt dans son trou étroit, le faisant tourner pour l’assouplir tandis qu’elle gémissait, son corps s’ouvrant à lui. Il ajouta un second doigt, écartant son anus avec une lenteur perverse, et elle haleta. Sans un mot, il cracha encore, lubrifiant son cul palpitant, et aligna son sexe dur contre son entrée. Il força le passage, son gland écartant son sphincter dans une douleur exquise, et s’enfonça jusqu’à la garde, ses couilles pressées contre ses fesses. Clara cria, ses ongles griffant les draps, tandis qu’il la sodomisait avec une sauvagerie méthodique, chaque coup faisant claquer sa peau et trembler ses cuisses.

Il glissa une main sous elle, plongeant trois doigts dans sa chatte béante, la baisant des deux trous à un rythme infernal. Sa mouille coulait en filets épais sur le lit, son cul s’ouvrant davantage sous ses assauts. Puis il la fit basculer sur le dos, ses jambes relevées jusqu’à ses épaules, et la força à le sucer. Elle saisit son sexe luisant avec une avidité indécente, ses lèvres s’étirant autour de sa queue épaisse, sa langue léchant chaque veine avec délectation. Elle le prit profond, jusqu’à s’étouffer, sa salive dégoulinant sur son menton tandis qu’elle gémissait de plaisir, ses doigts glissant dans sa propre chatte pour se caresser en rythme. Elle suça avec une obscénité assumée, ses yeux bandés cachant son regard de salope en extase, jusqu’à ce qu’il se retire, la laissant pantelante.
Il retourna en elle et accéléra, son sexe labourant son anus dilaté, ses doigts claquant dans sa fente trempée, jusqu’à ce qu’elle jouisse violemment, son cul se contractant autour de lui, un jet de cyprine giclant sur ses jambes alors qu’elle s’effondrait, pantelante. Il la releva sans ménagement, la mettant à genoux, et déchira sa robe pour libérer ses seins lourds, leurs tétons durcis par l’extase. Toujours muet, il se dressa devant elle, son sexe pulsant à quelques centimètres de son visage. Elle ouvrit la bouche instinctivement, sa langue pendante, et il se branla avec une urgence brutale, déversant un torrent de sperme chaud dans sa gorge. Le flot déborda, éclaboussant ses lèvres, son menton, ses seins nus, coulant en ruisseaux visqueux sur sa peau. Elle avala ce qu’elle put, le reste dégoulinant sur son corps souillé, tandis qu’un second orgasme la traversait, son cul et sa chatte encore frémissants.

Quand il eut fini, il s’écarta sans un son, la laissant à terre, son corps nu et luisant affalé sur le tapis, ses cheveux collés par la sueur et le sperme. Monsieur R. s’approcha, dénoua le bandeau avec une délicatesse ironique. « Vous avez été une salope sublime, » murmura-t-il, un sourire complice aux lèvres. Clara cligna des yeux, hagarde, son souffle court, ignorant que l’homme qui l’avait dévastée était Julien, son mari, masqué par le silence et le vice de Monsieur R.

Elle se releva, chancelante, ramassa ses vêtements en lambeaux et quitta l’appartement sous un ciel nocturne, son cul douloureux, sa peau poisseuse de sperme et de sueur. Chez elle, Julien l’attendait, feignant l’attente anxieuse, ses yeux trahissant une lueur sauvage. « Comment était-ce ? » demanda-t-il, la voix basse. « Brutal, indécent, parfait, » souffla-t-elle, sans savoir que c’était lui qui l’avait laissée souillée au sol, son cul béant et son visage maculé par son propre plaisir. Monsieur R. avait exaucé leur désir, Julien goûtant à sa femme sans briser ses limites, et Clara ignorant qu’elle avait été la salope de son mari.

Pour rester informé des évènements du LuX :
  Canal Télégram
  Canal Whatsapp