Récit : Scénario dans les airs

Cette histoire remonte à une quinzaine d’années, un temps où Monsieur R, ancien pilote doté d’une imagination flamboyante, transformait déjà les désirs en scénarios dignes d’un roman audacieux. Un ami proche lui avait demandé d’éblouir sa femme, Mademoiselle K, avec une surprise inédite. Avec son passé dans les cockpits et son flair pour l’extravagance, Monsieur R avait obtenu les références de leurs billets d’avion sous un prétexte anodin, guettant le vol idéal. Ce fut lors d’un trajet estival, alors que le couple s’apprêtait à s’envoler vers une escapade ensoleillée.

À bord, l’ambiance était paisible : les sièges moelleux, les murmures des passagers, le grondement sourd des moteurs en toile de fond. Puis, une hôtesse, glissa vers Mademoiselle K avec une invitation feutrée : « Madame, que diriez-vous d’une visite exclusive du cockpit ? » Piquée de curiosité, elle se leva, échangeant un regard amusé avec son mari, ignorant qu’elle s’aventurait dans une toile soigneusement tissée. Derrière la porte blindée, le pilote et le copilote, choisis pour leur allure magnétique et leur audace, attendaient, prêts à faire basculer ce vol dans une dimension sulfureuse.

La porte se referma avec un cliquetis discret, et le cockpit, baigné par la lumière tamisée des écrans de contrôle, devint une scène intime. Le pilote, un homme grand au visage taillé et au charisme brut, pivota vers elle, ses yeux sombres la détaillant avec une intensité palpable. « Bienvenue Mademoiselle K», murmura-t-il d’une voix chaude, ses doigts dégrafant sa veste d’uniforme avec une lenteur délibérée, dévoilant une chemise blanche tendue sur un torse large et musclé, légèrement luisant sous la chaleur ambiante. Le copilote, plus jeune, au corps élancé et au regard perçant, se retourna, effleurant son épaule d’une caresse suggestive, son souffle tiède frôlant sa nuque comme une promesse tacite.

Ils l’entourèrent avec une aisance presque orchestrée, leurs silhouettes imposantes emplissant l’espace exigu. Le pilote posa une main sur sa taille, ses doigts glissant sous l’ourlet de sa robe d’été légère, remontant le long de sa cuisse avec une précision sensuelle. Il écarta la fine dentelle de sa culotte, exposant sa peau douce, puis s’agenouilla devant elle, ses lèvres frôlant l’intérieur de ses cuisses avant que sa langue ne s’aventure plus loin. Il explora son intimité avec une expertise lascive, traçant des cercles lents et humides autour de son clitoris, puis plongeant plus profondément, son nez pressé contre elle, inhalant son odeur tandis qu’elle se cambrait, ses mains crispées sur le bord de la console, un gémissement étouffé s’échappant de ses lèvres.

Le copilote, pendant ce temps, défit sa ceinture avec une nonchalance étudiée, laissant son pantalon d’uniforme glisser juste assez pour révéler son sexe dressé, dur et impatient. Il guida ses doigts tremblants vers lui, ses yeux rivés aux siens, puis murmura d’une voix rauque : « Touche-moi. » Elle obéit, ses mains caressant sa longueur chaude et pulsante, avant qu’il ne rapproche ses hanches, effleurant ses lèvres avec son gland luisant. Elle entrouvrit la bouche, hésitante, puis l’accueillit pleinement, ses lèvres se refermant autour de lui dans un mouvement lent et rythmé. Sa langue dansait sur sa peau tendue, explorant chaque veine, tandis qu’il enroulait ses doigts dans ses cheveux, guidant sa tête avec une fermeté douce, son bassin ondulant légèrement pour s’enfoncer plus loin.

Le pilote se releva, essuyant son menton humide d’un revers de main, un sourire carnassier aux lèvres. Il la fit pivoter avec une grâce possessive, ses mains puissantes soulevant sa robe jusqu’à sa taille, exposant ses hanches nues. Il écarta ses jambes d’un geste assuré, frottant son propre sexe contre elle – dur, brûlant, prêt – avant de la pénétrer d’un coup profond et fluide. Elle sentit chaque centimètre de lui la remplir, ses parois intimes s’étirant sous son assaut, tandis qu’il agrippait ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa chair. Il bougeait avec une cadence maîtrisée, chaque poussée accompagnée d’un grondement sourd dans sa gorge, ses testicules frôlant sa peau à chaque va-et-vient, amplifiant la sensation brute qui la traversait.

Le copilote, toujours devant elle, profitait de sa bouche offerte. Il accéléra ses mouvements, ses mains serrant ses joues pour maintenir son visage en place, son sexe glissant entre ses lèvres avec une ardeur croissante. Elle le suçait avec une ferveur instinctive, sa langue tournoyant autour de lui, ses joues creusées par l’effort, tandis que des filets de salive perlaient au coin de sa bouche. L’air du cockpit s’alourdit, saturé de l’odeur musquée de leurs corps, du métal chaud des instruments et du frottement des étoffes dérangées.

Puis, dans un élan final, le pilote la fit glisser à genoux avec une élégance autoritaire, ses mains fermes sur ses épaules. Mademoiselle K se retrouva face aux deux hommes, leurs sexes tendus à quelques centimètres de son visage, luisants de sueur et de désir. Le pilote, d’un mouvement rapide, se caressa jusqu’à l’extase, son souffle devenant saccadé alors qu’il libérait un jet chaud et abondant dans sa bouche ouverte, le goût salé envahissant ses papilles. Presque simultanément, le copilote, ses doigts crispés dans ses cheveux, suivit le même chemin, son corps se raidissant tandis qu’il éjaculait à son tour, ses spasmes envoyant des giclées épaisses sur sa langue et ses lèvres. Elle accueillit leurs semences mêlées, un flot tiède et puissant qui emplit sa bouche, et, dans un réflexe discret, elle avala tout, sa gorge se contractant doucement pour effacer les preuves de leur audace. Elle essuya ses lèvres d’un geste furtif, ses joues encore brûlantes, tandis qu’ils ajustaient leurs uniformes avec une nonchalance complice.

Le pilote lui tendit une main pour l’aider à se relever, un sourire en coin : « Monsieur R vous souhaite un bon vol » Elle quitta le cockpit, sa démarche légèrement vacillante, un éclat trouble dans les yeux masqué par un sourire sage. Revenue auprès de son mari, il ne remarqua rien – ni son souffle court, ni la lueur secrète qu’elle portait.

Monsieur R, l’architecte de cette escapade aérienne, connaissait chaque détail de ce qu’il avait minutieusement mis en place, et il savoura pleinement la réussite de son plan, conscient que cette aventure avait atteint des hauteurs incroyables d’élégance et de transgression…

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