Récit : Mlle C, son 1er GangBang
Ce qui suit est une histoire vraie, un récit puisé dans la réalité de Mademoiselle C., une femme qui, pendant des années, a nourri un fantasme secret, un désir brut qu’elle gardait tapi au fond d’elle. Depuis longtemps, bien avant de croiser la route de Monsieur R., elle rêvait d’un gangbang – être entourée d’hommes, offerte comme un objet de plaisir, utilisée dans une débauche qu’elle contrôlerait. Ces images la hantaient dans ses moments les plus intimes, ses doigts s’égarant entre ses cuisses alors qu’elle imaginait des silhouettes masculines la prenant sans relâche. Ce n’était qu’un fantasme, un murmure qu’elle n’osait pas libérer, jusqu’à ce que Monsieur R., avec son charisme sombre et son audace, la pousse à franchir le pas. `« Écris-leur, » lui avait-il dit un soir, sa voix grave résonnant comme un défi. « Dis-leur tout, sans retenue. » Après des années à fantasmer, elle a osé. La lettre qu’elle leur a envoyée, tapée avec des mains tremblantes et un sexe déjà humide, était le premier pas vers cette réalité qu’elle allait enfin vivre. Voici ce qu’il y était écrit : « Bonsoir, Il m’a été demandé par un certain R de vous écrire mes envies, et de le faire sans filtre, alors… Tout d’abord, je souhaite que vous m’entouriez, je veux me sentir un objet de désir, un objet à disposition. J’ai très envie de voir votre envie, que vous m’utilisiez pour l’assouvir. J’aimerais un mélange de virilité et de délicatesse, mais pas de tendresse. Que vous soyez directifs avec vos mots, avec vos mains, avec vos queues, mais sans aucune brutalité dans vos gestes. Je veux dire par là que je veux vous sentir mettre vos queues dans ma bouche quand vous le souhaitez, mais pour ce qui est des gorges profondes, ça c’est moi qui gère. Autant j’ai très envie de sucer vos queues, autant, ne vous connaissant pas, je vous demanderai beaucoup de délicatesse s’il me prenait l’envie de vouloir vous prendre totalement en bouche. N’hésitez pas à me parler, à me dire des mots crus, etc… enfin vous m’avez comprise. J’ai très envie de vous sentir également dans ma petite chatte qui commence déjà à mouiller en écrivant ces mots. Je vous imagine me baisant alternativement l’un l’autre, me prenant à la chaîne, et baisant ma bouche en même temps. Pour ce qui est du côté anal, si il me venait cette envie, alors j’imagine une scène où je serais à califourchon sur mon homme, R, pendant que vous vous relayeriez dans mon cul avec énormément de délicatesse, de lents va et vient, tandis que d’autres queues seront dans ma bouche pour atténuer mes gémissements de petite pute. Lorsque vous aurez envie de jouir, si j’arrive à vous en donner envie ;) , ne vous retenez pas, venez vous branler devant ma bouche que j’ouvrirai bien grand pour vous faire comprendre mon envie. N’hésitez pas à me dire que vous allez jouir et à me dire d’ouvrir grand la bouche... Vous avez compris que mon souhait n’est pas d’être respectée pendant le jeu (il s’agit juste d’un jeu), mais d’être baisée comme une pute à disposition avec beaucoup de délicatesse. Enfin, pas de pression, il ne s’agit pas d’un concours, et je ne cherche pas des hommes capables de me baiser pendant 3h ! Je préfère mille fois quelques instants hard et terriblement excitants à de longues séances de baise qui ne sont pas mon truc. » C’était une journée d’avril, fraîche et voilée d’une pluie fine, lorsque Mademoiselle C. franchit les portes d’un club élégant, niché dans une rue discrète de la ville. L’enseigne, un « L » doré sur fond noir, brillait avec une sophistication froide, un écrin luxueux pour ce fantasme qu’elle portait depuis des années et qu’elle allait enfin vivre. Monsieur R. la guidait, sa silhouette dans un costume noir taillé sur mesure, ses yeux sombres scintillant d’une promesse indécente. Le club, avec ses murs tendus de velours sombre, ses lustres de cristal diffusant une lumière tamisée et son sol de marbre noir poli, offrait un décor raffiné pour son premier gangbang – un contraste saisissant avec la débauche qu’elle y avait orchestrée. L’intérieur vibrait d’une musique aux basses profondes, l’air embaumé d’encens et d’une note subtile de cuir. Des banquettes de satin noir, moelleuses et impeccables, encadraient une plateforme centrale surélevée, recouverte d’un tapis épais couleur sang. Huit hommes attendaient, selectionnés par Monsieur R. : un brun élancé aux yeux perçants, un blond trapu à la mâchoire carrée, un homme au teint mat à la carrure massive, un autre aux tempes grises au regard vicieux, un large d’épaules au sourire narquois, un roux maigre au nez busqué, un chauve à la peau luisante, et un jeune nerveux aux mains agitées. En costumes sobres mais élégants, ils dégageaient une virilité contenue, leurs regards la dévorant déjà. Mademoiselle C., dans une robe noire courte et moulante sans rien dessous, sentit son sexe palpiter alors qu’elle avançait, prête à incarner ce fantasme qu’elle avait osé écrire après des années de rêveries. Monsieur R. la guida sur la plateforme, sous la lueur douce d’un lustre, ses doigts faisant glisser sa robe au sol, dévoilant sa nudité – ses seins fermes aux tétons durcis, son sexe luisant d’anticipation. « Messieurs, à vous de jouer » dit-il, sa voix grave résonnant dans l’espace feutré. Les huit hommes s’approchèrent, formant un cercle serré autour d’elle, leurs yeux brillant d’un désir brut, leurs pantalons tendus par leurs érections. Elle se sentit salope, offerte, un objet de plaisir au centre de leur convoitise, comme elle l’avait imaginé tant de fois. « Prenez-moi, » murmura-t-elle, ses mains écartant ses cuisses pour exhiber son intimité trempée, déjà ouverte sous leurs regards. Le brun élancé s’avança, déboutonnant son pantalon avec une assurance froide. « À genoux, salope, » dit-il, directif mais sans violence, sa verge dure et longue frôlant ses lèvres. Elle s’agenouilla sur le tapis moelleux, ses genoux s’enfonçant dans la douceur, et le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de lui, sa langue caressant son gland luisant de précum, contrôlant la profondeur comme elle l’avait exigé. « Suce bien, t’es notre pute ce soir, » grogna-t-il, ses mains effleurant ses cheveux sans forcer. L’homme au teint mat s’approcha, son membre épais et veiné à la main, suintant déjà. « Ouvre pour moi, » ordonna-t-il, et elle alterna, sa bouche passant de l’un à l’autre, ses lèvres dégoulinantes de salive, ses mains saisissant leurs couilles lourdes, leurs mots crus – « T’es une bonne salope, avale-nous » – la faisant frissonner de plaisir. Monsieur R. l’interrompit, la relevant pour la guider vers une banquette, ses jambes écartées en grand. « Montre-leur ta chatte, » dit-il, et elle obéit, ses doigts écartant ses lèvres intimes pour exposer son sexe béant, rose et dégoulinant, ses parois luisantes sous la lumière tamisée. Le blond trapu s’avança, ses mains fermes saisissant ses cuisses pour les ouvrir davantage, son membre dur et épais pénétrant son vagin d’un coup lent et profond. Il écarta ses lèvres avec ses doigts, exposant son clitoris gonflé, et la baisa avec des va-et-vient mesurés, ses couilles claquant doucement contre ses fesses, son sexe s’ouvrant encore plus sous ses assauts. « Tu sens ma queue qui te remplit, salope ? » lança-t-il, et elle gémit, son vagin palpitant autour de lui. Le chauve se plaça près de sa tête, glissant son sexe lisse et raide dans sa bouche, ses doigts effleurant sa joue tandis qu’il murmurait : « Suce-moi bien, comme la belle petite salope que tu es aujourd’hui » son gland cognant contre sa langue, ses lèvres béantes dégoulinant de salive. Ils la prirent à la chaîne, détaillant chaque acte avec une indécence crue. Le brun élancé remplaça le blond, ses doigts écartant ses fesses pour exposer son anus rose, sa verge plongeant dans son sexe ouvert, ses coups de reins lents faisant jaillir des filets de mouille sur ses cuisses, son vagin béant et luisant autour de lui. « Quelle belle chienne faite pour être baisée, » grogna-t-il, tandis que le roux maigre glissait son membre fin mais dur dans sa bouche, ses mains pinçant ses tétons, ses mots – « Bouffe-moi, salope » – amplifiant son sentiment de débauche. Le large d’épaules prit la suite, sa queue massive écartant son vagin encore plus, ses va-et-vient délicats mais profonds étirant ses parois jusqu’à ce qu’elle soit complètement ouverte, ses gémissements étouffés par le jeune nerveux qui enfonçait son sexe dans sa gorge, ses lèvres distendues autour de lui, sa salive coulant sur son menton. Puis elle osa plus. « Je veux… par derrière, » murmura-t-elle, sa voix rauque d’excitation. Monsieur R. s’allongea sur la banquette, l’attirant à califourchon sur lui, son membre dur pénétrant son sexe trempé, ses parois s’ouvrant largement sous son assaut, son clitoris frottant contre son pubis. Elle se cambra, offrant son cul, et l’homme au teint mat s’approcha, enduisant son sexe massif de lubrifiant avant de le glisser lentement dans son anus, ses va-et-vient mesurés distendant son orifice étroit jusqu’à le rendre béant, ses parois internes visibles sous la lumière. « Détends-toi » murmura-t-il, tandis que le blond trapu glissait sa queue dans sa bouche, son gland épais cognant contre sa langue, ses mains guidant sa tête pour étouffer ses gémissements. Ses trois orifices étaient ouverts au maximum – son sexe dégoulinant et distendu autour de Monsieur R., son cul béant sous les assauts délicats de l’homme au teint mat, sa bouche écartelée par le blond – et elle se sentit salope, pleinement, délicieusement, au centre de ces huit hommes. L’acte s’intensifia dans une débauche détaillée. Le chauve remplaça l’homme au teint mat, son membre pénétrant son cul avec une lenteur exquise, ses doigts écartant ses fesses pour montrer son anus distendu et luisant, ses va-et-vient faisant entrer de l’air dans son orifice ouvert, un son indécent résonnant dans la pièce. Le roux maigre baisa son vagin par-dessus Monsieur R., ses coups de reins délicats étirant encore plus ses parois trempées, son sexe béant laissant couler un mélange de mouille et de précum sur la banquette. Le large d’épaules força sa bouche, son sexe épais étirant ses lèvres jusqu’à leurs limites, suivi par l’homme aux tempes grises, qui murmura : « T’es une vraie salope, tu nous excites et on voit que t’aimes ça » alors qu’elle le suçait, sa langue dégoulinant de salive. Le jeune nerveux prit son cul à son tour, son membre nerveux glissant dans son orifice déjà distendu, chaque homme alternant entre ses trous, leurs mots résonnant dans l’élégance perverse du club. L’extase monta, brutale et rapide. Elle s’écarta, pantelante, et s’agenouilla au centre de la plateforme, ses cuisses écartées laissant voir son sexe et son cul béants, luisants de sueur et de mouille, ses orifices palpitants sous leurs regards. « Jouissez dans ma bouche, » ordonna-t-elle, sa voix rauque, sa bouche grande ouverte, sa langue sortie, ses yeux brillants de défi. « J vais jouir, » grogna le brun élancé, se masturbant devant elle. Son sperme gicla en jets épais, remplissant sa bouche, et elle avala, le goût salé envahissant sa gorge. L’homme au teint mat suivit, son plaisir tiède débordant sur sa langue, puis le blond trapu, son flot épais la faisant gémir. Le chauve jouit à son tour, son sperme coulant dans sa bouche ouverte, suivi du roux maigre, qui se vida sur sa langue. L’homme aux tempes grises visa juste, son plaisir éclaboussant son palais, le large d’épaules ajouta un jet puissant qu’elle avala avec effort, et le jeune nerveux termina, tremblant, son sperme tiède emplissant sa bouche. Monsieur R., en dernier, se branla devant elle, murmurant : « Ouvre ta bouche, montre-moi la salope es» avant de jouir, un flot abondant envahissant sa bouche, qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte, ses lèvres luisantes de leurs huit offrandes. Mademoiselle C. resta là, à genoux sur la plateforme, le corps luisant, ses orifices encore palpitants, une salope sublime dans cet écrin élégant. Les hommes s’écartèrent, certains murmurant un « merci » essoufflé, d’autres disparaissant dans l’ombre. Monsieur R. s’approcha, une serviette à la main, un sourire satisfait aux lèvres. « Tu as été divine, » dit-il, essuyant ses lèvres poisseuses. Elle le regarda, encore secouée. « Je me suis sentie… tellement salope, c’est trop bon » souffla-t-elle, un éclat sauvage dans les yeux, consciente que ce fantasme, devenu réalité ce jour-là, l’avait transformée à jamais. Elle quitta le club sous la pluie fine, son corps marqué par son premier gangbang, huit hommes ayant joui dans sa bouche dans un mélange de virilité et de délicatesse qu’elle avait orchestré avec Monsieur R. Dans ce lieu raffiné, elle avait plongé dans une indécence qu’elle avait fantasmée pendant des années, et qu’elle avait enfin vécue.
Malik
En voilà une belle aventure pour une belle salope, gourmande coquine et avide de queue en érection...Voilà le genre de femme qui représente bien ce club privé. Mme C t' est une petite pute dévergondée qui fait honneur au gangbang et aux envies de nous, hommes prêts à en abusé. Après cette lecture débridée je n'est qu'une envie...te faire offrende de ma verge au gland luisant, les bourses pleines d'élixir pour une bouche grande ouverte...Merci le Luxe.