Récit : Chambre 709

Mademoiselle C., était dans son bureau des beaux quartiers Parisiens, ses doigts effleurant son clavier avec une distraction croissante, lorsqu’un message de Monsieur R. illumina son téléphone. Cet homme, son homme depuis des années, avait une manière unique de faire basculer ses jours dans l’inconnu. « Sois prête à 12h30 devant ton bureau. Un taxi t’attendra. Appelle-moi une fois dedans. » Elle sentit un frisson la parcourir, ses lèvres s’étirant en un sourire discret. Avec Monsieur R., rien n’était jamais anodin.

La matinée s’étira, son esprit oscillant entre ses tâches et l’attente. À midi pile, un second message arriva, précis, provocant, signé de cette autorité qui la fascinait :
« Mademoiselle C.,
En arrivant à l’hôtel, vous vous rendrez à l’accueil pour récupérer la carte d’accès à votre chambre. Votre client vous attendra dans la chambre 709.
Les tarifs ont déjà été négociés, il vous paiera à votre arrivée au tarif de 150 €.
Une fois l’argent rangé dans votre sac, demandez-lui s’il préfère que vous vous exhibiez ou bien s’il veut sentir directement votre bouche sur sa queue.
Allez-vous préparer comme vous le souhaitez à la salle de bain et revenez pour réaliser la prestation pour laquelle vous aurez été payée.
Ses tests mst auront déjà été vérifiés.
Soyez une vraie pute et amusez-vous bien… »

Son cœur s’emballa. Ce jeu, orchestré par Monsieur R., portait sa marque : un mélange de contrôle et de liberté qui la faisait vibrer. Elle passa une main dans ses cheveux châtains, vérifia son reflet – rouge à lèvres carmin, jupe crayon noire, chemisier blanc entrouvert – et se prépara à se plier à ses désirs.

À 12h30, elle descendit devant l’immeuble, ses talons claquant sur le trottoir mouillé. Un taxi noir l’attendait, moteur en marche. Elle monta à l’arrière, salua le chauffeur – un homme d’une quarantaine d’années, cheveux bruns, regard impassible – et appela Monsieur R. « Je suis dans le taxi, » murmura-t-elle, une pointe d’excitation dans la voix. « Parfait, » répondit-il, son ton grave teinté d’amusement. « Demande au chauffeur s’il est d’accord pour que tu retires ta culotte. »

Mademoiselle C. sentit une chaleur monter à son visage, mais elle se pencha vers l’avant. « Monsieur, ça ne vous dérange pas si je retire ma culotte ? » demanda-t-elle, jouant une innocence calculée. Le chauffeur croisa son regard dans le rétroviseur, un sourire furtif naissant sur ses lèvres. « Faites comme vous voulez, mademoiselle, » répondit-il, sa voix rauque laissant deviner une curiosité retenue. Elle glissa les mains sous sa jupe, fit descendre la dentelle noire et la rangea dans son sac, ses cuisses nues frôlant le cuir de la banquette.

Monsieur R. reprit : « Mets-moi sur haut-parleur. » Elle obéit, posant le téléphone à côté d’elle. « Monsieur, » dit-il, sa voix résonnant dans l’habitacle, « pouvez-vous confirmer qu’elle n’a plus de culotte ? » Le chauffeur jeta un coup d’œil rapide. « Oui, je confirme, » répondit-il, amusé. « Vérifiez si elle est mouillée en passant vos doigts s’il vous plait. » Mademoiselle C. retint son souffle, partagée entre gêne et excitation et écarta les jambes. Le chauffeur tendit une main vers l’arrière, ses doigts effleurant sa cuisse avant de remonter. « Elle est trempée, » annonça-t-il, impassible. « Bien, » conclut Monsieur R. « Conduisez-la à l’hôtel. »

Le trajet fut silencieux, l’atmosphère lourde de sous-entendus. Arrivée devant un hôtel discret aux lignes épurées, Mademoiselle C. descendit, son sac serré contre elle, et entra dans le hall parfumé de bois et de jasmin. À l’accueil, elle récupéra la carte de la chambre 709, son pouls s’accélérant sous son chemisier. L’ascenseur la mena au septième étage dans un murmure feutré. Devant la porte, elle inspira profondément et entra.

La chambre était baignée d’une lumière tamisée, les rideaux à moitié tirés laissant filtrer un jour gris. Deux hommes l’attendaient. Monsieur R se tenait près de la fenêtre, une lueur possessive dans ses yeux sombres. À ses côtés, un inconnu – la quarantaine, costume gris bien coupé, cheveux bruns légèrement ébouriffés – était assis dans un fauteuil, un sourire discret aux lèvres. « Bonjour, Mademoiselle C., » dit Monsieur R., sa voix grave glissant sur elle comme une caresse. L’inconnu se leva, posa une enveloppe sur la table. « 150 €, comme convenu, » annonça-t-il. Elle vérifia l’argent et le rangea dans son sac.

« Que préférez-vous ? » demanda-t-elle, jouant son rôle avec assurance. « Que je m’exhibe, ou que je commence directement avec ma bouche ? » L’inconnu consulta Monsieur R. du regard et lui lança « Exhibez-vous, » « Et ensuite, nous abuserons de toi…» poursuivit Monsieur R. Son ton était à la fois promesse et menace, un mélange qui la fit frissonner.

Elle se dirigea vers la salle de bain, ses talons claquant sur le parquet. Dans le miroir, elle ajusta ses cheveux, déboutonna son chemisier jusqu’à révéler sa poitrine prisonnière de dentelle noire, releva sa jupe pour exposer ses cuisses nues – pas de culotte, comme il l’avait exigé – et vaporisa une touche de parfum sur son cou. Puis elle revint, ses pas assurés, portée par le feu qui la consumait.

Devant eux, elle fit glisser sa jupe plus haut, dévoilant son sexe luisant, et laissa tomber son chemisier au sol, ne gardant que son soutien-gorge. Monsieur R. s’approcha, ses doigts effleurant son épaule, tandis que l’inconnu déboutonnait sa chemise, révélant un torse lisse. « À genoux, » ordonna Monsieur R., son ton doux mais implacable. Elle obéit, s’agenouillant sur le tapis moelleux, ses cuisses écartées offrant une vue sans retenue sur son intimité déjà trempée.

Monsieur R. s’accroupit devant elle, ses mains saisissant ses jambes pour les ouvrir davantage, exposant son sexe béant à leurs regards. « Touche-toi, » murmura-t-il. Elle glissa une main entre ses cuisses, ses doigts écartant ses lèvres humides, les pénétrant avec une lenteur obscène sous leurs yeux affamés. L’inconnu s’approcha, son pantalon tombant à ses chevilles, et guida son membre dur vers sa chatte ouverte, la pénétrant d’un coup profond qui la fit gémir. Monsieur R., déboutonnant son propre pantalon, prit sa bouche, son sexe glissant contre sa langue avec une brutalité contenue, ses mains agrippant ses cheveux.

Ils la prirent ainsi, sans ménagement mais avec une précision qui trahissait leur maîtrise. L’inconnu s’enfonçait en elle, ses doigts écartant ses fesses pour exposer encore plus son intimité, tandis que Monsieur R. la baisait par la gorge, ses grognements résonnant dans la pièce. Puis ils la firent basculer sur le lit, à quatre pattes, son sexe et son cul offerts, dégoulinants de désir. L’inconnu plongea deux doigts dans sa chatte, les faisant aller et venir jusqu’à ce qu’elle soit béante, pendant que Monsieur R. la forçait à le sucer plus fort, ses lèvres étirées autour de lui.

Elle était là, haletante, son intimité palpitante et ouverte, ses cuisses luisantes. Les deux hommes se placèrent devant elle, leurs membres dressés à quelques centimètres de son visage. « Ouvre grand, » dit Monsieur R., et elle obéit, sa bouche béante, sa langue sortie, les yeux levés vers eux. Ils se masturbèrent, leurs mains rapides et assurées, leurs regards fixés sur elle. L’inconnu jouit le premier, un jet épais et brûlant éclaboussant sa langue et son menton, suivi de Monsieur R., dont le sperme gicla en salves désordonnées, remplissant sa bouche et dégoulinant sur sa poitrine. Elle avala ce qu’elle put, le reste coulant en filets visqueux sur son corps, tandis qu’ils grognaient de plaisir.

Mademoiselle C. resta là, à genoux, pantelante, le visage et le corps marqués par leur débauche. Monsieur R. lui tendit une serviette, un sourire satisfait aux lèvres, pendant que l’inconnu se rhabillait en silence. « Tu as été sublime, » murmura Monsieur R., effleurant sa joue poisseuse. Elle le fixa, encore essoufflée. « Merci, » souffla-t-elle, un mélange de défi et de soumission dans la voix.

Elle quitta l’hôtel sous le ciel gris d’octobre, son sac alourdi par l’enveloppe, son corps portant les traces d’une indécence qu’elle n’oublierait pas. Monsieur R. l’avait transformée en l’héroïne de son propre fantasme, aussi brut que délicieusement orchestré.

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