Récit : Elise, 1er GangBang au LuX
À 38 ans, Élise portait en elle une beauté mûre et affirmée : des courbes généreuses soulignées par une robe rouge sombre, des cheveux châtains tombant en vagues sur son dos, et un regard où brûlait un désir longtemps contenu. Toute sa vie, elle avait fantasmé ce moment, une nuit où elle s’abandonnerait totalement, où les barrières tomberaient pour laisser place à une liberté crue et sensuelle. Une connaissance lui avait parlé du LuX, un club secret orchestré par Monsieur R., un lieu où les désirs les plus enfouis prenaient vie. Ce soir-là, elle était prête. Le LuX se cachait derrière un mur anonyme, une façade impénétrable. Une grande porte en métal barrait l’entrée, massive et muette. Élise tapa le code sur le digicode, ses doigts hésitant à peine, et la porte s’ouvrit sur un sas étroit. Elle attendit, le souffle court, sous l’œil invisible des caméras qui la jaugeaient. Puis, un déclic, et elle pénétra dans le sanctuaire du LuX. Une moquette épaisse accueillit ses pas, et les murs tendus de feutrine sombre enveloppèrent l’espace d’une atmosphère feutrée, baignée d’une lumière tamisée qui jetait des ombres dansantes. Une musique enivrante, aux basses profondes et aux mélodies entêtantes, pulsait dans l’air, amplifiant l’électricité de l’instant. Monsieur R. l’attendait, silhouette élégante dans un costume noir impeccablement coupé. Ses yeux sombres la scrutèrent avec une bienveillance calculée. « Bienvenue au LuX, Élise, » murmura-t-il, sa voix un velours profond. « Ce soir est le vôtre. Les gentlemen ont été choisis pour vous. Ils savent donner et recevoir, avec délicatesse et vigueur. Êtes-vous prête ? » Élise hocha la tête, un mélange d’excitation et de vertige la traversant. Il la guida vers une pièce singulière, divisée en deux demi-niveaux. Le niveau bas, où elle se tenait, était un espace ouvert, tapissé de moquette sombre et entouré de barreaux métalliques fixes qui le séparaient du niveau haut. Là-haut, derrière ces barreaux, cinq silhouettes se dessinaient dans la pénombre, silencieuses, attentives. Des gentlemen âgés de 30 à 50 ans, vêtus de costumes sobres, leurs regards posés sur elle avec une intensité contenue. La lumière tamisée caressait leurs contours, et la musique semblait guider leurs mouvements comme une pulsation vitale. Monsieur R. fit un signe discret, et le premier homme, un brun aux tempes grisonnantes, se faufila avec agilité entre les barreaux, descendant au niveau bas. Il s’approcha avec une grâce virile, effleurant son épaule d’une main assurée mais tendre. « Tu es magnifique, » souffla-t-il, avant de l’embrasser avec une sensualité lente, ses lèvres explorant les siennes sous les accords envoûtants de la musique. Les autres suivirent, glissant un à un entre les barreaux avec une aisance féline. Un blond au sourire discret, un homme à la peau mate aux épaules carrées, un autre aux mains fines et assurées, et un dernier aux yeux bleus perçants. La robe rouge d’Élise glissa au sol sous leurs doigts experts, révélant sa peau nue, frémissante sous la lumière douce. Le blond s’agenouilla, écartant ses cuisses pour plonger sa langue dans son intimité, léchant avec une précision qui la fit trembler. L’homme à la peau mate se plaça derrière elle, son torse pressé contre son dos, et guida son membre durci vers sa chatte humide, pénétrant lentement, avec une tendresse mêlée de fermeté. Élise gémit, submergée par cette double sensation, tandis que le brun aux tempes grises offrait sa verge à sa bouche, qu’elle accueillit avec une avidité fiévreuse. Les deux autres rejoignirent le chaos sensuel. Celui aux mains fines glissa sous elle, ses doigts explorant sa chatte trempée avant de la pénétrer profondément, pendant que l’homme aux yeux bleus caressait son visage, son sexe frôlant ses lèvres. Élise se perdit dans cette tempête de corps, prise de mille façons, tous ses orifices comblés par ces gentlemen à la fois bienveillants et implacables. Le blond se redressa pour la prendre par-devant, ses coups de reins synchronisés avec ceux de l’homme derrière elle, tandis que sa bouche alternait entre les queues qui se présentaient, avide de leur goût salé. La musique enivrante rythmait leurs mouvements, un crescendo qui montait avec ses gémissements. Ils la firent basculer dans toutes les positions : allongée, à quatre pattes, soulevée entre leurs bras puissants. L’homme aux mains fines s’enfonça dans sa gorge, ses mains délicates guidant sa tête, pendant que le blond et l’homme à la peau mate la prenaient simultanément, leurs corps luisants de sueur sous la lumière tamisée. Celui aux yeux bleus caressait ses seins, son membre glissant entre eux, tandis que le brun aux tempes grises explorait son cul avec une vigueur contenue. L’extase monta, sauvage et indécente. L’homme à la peau mate jouit le premier, son sperme chaud inondant son cul, suivi par le blond qui se retira pour éclaboussant son ventre en jets épais. Celui aux mains fines céda dans sa bouche, un flot crémeux débordant sur ses lèvres, qu’elle avala en gémissant. Le brun aux tempes grises et l’homme aux yeux bleus la marquèrent à leur tour, leurs semences tièdes giclant sur son visage, sa poitrine, ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle soit dégoulinante, la peau luisante de sperme sous la lumière tamisée. Élise s’effondra sur la moquette, pantelante, le corps secoué par un orgasme dévastateur, la musique résonnant encore dans ses oreilles. Les gentlemen s’écartèrent avec une élégance respectueuse, se faufilant à nouveau entre les barreaux pour regagner le niveau haut, redevenant ombres silencieuses. Monsieur R. s’avança, un sourire discret aux lèvres, une serviette de soie à la main. « Votre rêve est devenu réalité, Élise, » dit-il. Elle le fixa, encore étourdie, le visage et le corps poisseux. « Toute ma vie… j’ai attendu ça, » murmura-t-elle, un sourire épuisé naissant sous les traces de son abandon. Elle quitta le LuX cette nuit-là, transformée, le corps et l’âme marqués par une extase qu’elle n’oublierait jamais. Le LuX, sous la houlette de Monsieur R., avait été le théâtre de son éveil, un lieu où la sensualité, l’indécence et la virilité s’étaient mêlées pour faire d’elle une femme pleinement vivante.
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