Récit : Clara, 1ere fois au LuX
Clara, 28 ans, avait une allure qui captivait sans effort : une silhouette élancée, des cheveux bruns ondulant jusqu’à ses épaules, et des yeux verts où dansait une curiosité insatiable. Ce soir-là, une amie lui avait glissé un nom dans un murmure complice : le LuX, un club secret niché au cœur de la ville, un lieu dont on ne parlait qu’à demi-mot, réservé à ceux qui savaient écouter les ombres. On disait que Monsieur R., un homme à la présence magnétique, en était le gardien et l’architecte. Intriguée, Clara avait décidé de s’y rendre, drapée dans une robe de soie noire qui frôlait ses chevilles. Le LuX se tenait derrière une façade anonyme, un mur aveugle où rien ne trahissait sa présence. Une grande porte en métal, massive et sans signe distinctif, en barrait l’accès. Clara composa le code qu’on lui avait transmis, ses doigts tremblants tapant les chiffres sur le digicode. Un déclic discret se fit entendre, et la porte s’entrouvrit sur un sas étroit, un espace confiné où elle patienta, le cœur battant. Des caméras discrètes, nichées dans les angles, la scrutaient en silence, leurs lentilles invisibles évaluant son droit d’entrée. Puis, un second déclic, et une porte intérieure s’ouvrit, révélant enfin l’antre du LuX. Monsieur R. l’accueillit avec un sourire subtil, son costume sombre épousant ses épaules comme une seconde peau. « Bienvenue au LuX, Clara, » dit-il, sa voix grave glissant sur elle comme une caresse. « Ce n’est pas un lieu ordinaire. Ici, vous êtes libre d’être tout ce que vous désirez. » Il la guida vers une salle à part, un espace élégant où une moquette épaisse étouffait le son de ses talons, et où les murs, revêtus de feutrine sombre, absorbaient la lumière pour créer une ambiance feutrée, presque irréelle. Là, une paroi se dressait, percée de trois trous ronds, alignés à hauteur de hanches, chacun promettant une rencontre anonyme. « Un glory-hole, » expliqua-t-il devant son regard curieux. « Derrière, des gentlemen choisis, des hommes d’une certaine tenue. Ici, vous. Le plaisir est un art, et vous en êtes l’artiste. » Le mot résonna en elle, à la fois raffiné et indécent, éveillant une chaleur qu’elle ne pouvait ignorer. Elle s’approcha, ses pas silencieux sur la moquette, et s’agenouilla face aux trois ouvertures, ses doigts effleurant la feutrine douce. Le premier émergea par le trou central, un gentleman dont le membre, soyeux et imposant, luisait déjà de précum. Deux autres, tout aussi distingués, apparurent des trous latéraux, leurs formes pleines et veloutées offertes avec une élégance contenue. Clara l’engloutit, ses lèvres s’étirant autour de ce gland charnu, tandis que ses mains saisissaient les deux autres, les caressant avec une ardeur fébrile. Il se vida doucement, un jet épais et brûlant giclant au fond de sa gorge, débordant sur sa langue dans une explosion salée. Elle avala goulûment, le goût riche la submergeant, et sentit une vague de plaisir l’inonder. Entre ses cuisses, sa chatte palpitait, déjà trempée sous sa robe, alors qu’elle flattait les deux autres, leurs surfaces lisses glissant entre ses doigts. Le deuxième, à sa gauche, présenta une verge lourde qui força ses lèvres à s’ouvrir grand, un gentleman au port altier. Elle le suça avec avidité, sa salive coulant sur son menton alors qu’il pulsait contre son palais, pendant que sa main droite continuait de caresser le troisième. Quand il jouit, ce fut un flot visqueux, tiède, qui s’écrasa sur sa langue en vagues généreuses, débordant aux coins de ses lèvres. Elle toussa légèrement, le sperme gouttant sur la moquette, et glissa une main sous sa robe pour caresser son clitoris gonflé, trempé de désir. Son plaisir montait, incontrôlable, tandis qu’elle jonglait entre ces offrandes raffinées. Le troisième, à droite, était un homme de stature, sa queue tressautant avec une retenue élégante. Clara la prit jusqu’à la gorge, ses yeux larmoyants, son nez frôlant le mur, tandis que sa main gauche ranimait une nouvelle verge au centre. Il explosa dans un soupir discret, projetant des salves épaisses qui remplirent sa bouche à ras bord. Le sperme coula sur son menton en filets gluants, et elle sentit sa chatte ruisseler, ses doigts s’activant frénétiquement sur sa fente dégoulinante. Elle était noyée dans l’extase, chaque gorgée amplifiant son délire. Le quatrième jaillit du trou central, une verge courbée offerte avec une grâce subtile, tandis qu’une cinquième se présentait à gauche. Elle le suça avec une ferveur presque dévotionnelle, sa langue traçant chaque contour, sa main droite caressant la nouvelle venue. Il se retira à moitié pour jouir, éclaboussant ses lèvres et sa langue d’un sperme crémeux qui s’étira en cordons visqueux jusqu’à sa gorge. Clara gémit, ses doigts plongés dans sa chatte trempée, ses cuisses tremblant sous la moquette. Elle était au bord de l’abîme, son corps électrisé par ces plaisirs distingués. Le cinquième, à gauche, fut son apogée, un gentleman dont la verge, longue et pleine, la défia avec une noblesse insolente dès qu’elle la prit en bouche, tandis qu’une main continuait de caresser une queue au centre. Elle la suça avec une dévotion obscène, ses lèvres rougies glissant sur cette peau soyeuse, sa gorge s’ouvrant pour l’accueillir. Quand il céda, ce fut un raz-de-marée : un torrent de sperme brûlant jaillit, emplissant sa bouche jusqu’à déborder, coulant en ruisseaux épais sur son menton, sa gorge, jusque sur sa robe de soie. Elle se caressa frénétiquement, ses doigts enfoncés dans sa chatte inondée, et jouit violemment, un cri étouffé par le flot qui la submergeait. Son corps trembla, secoué par l’orgasme, tandis que le sperme du cinquième dégoulinait encore sur son visage luisant, une autre queue au centre éclaboussant ses joues d’un dernier jet. Monsieur R., qui avait observé depuis un coin de la pièce, s’avança, un mouchoir de soie à la main. « Cinq, » murmura-t-il, une lueur de respect dans le regard. Clara s’essuya lentement, la bouche poisseuse, le goût âcre imprégnant sa langue. « C’était… sublime, » souffla-t-elle, encore essoufflée par son plaisir. Il inclina la tête, comme un maître saluant une élève prodige. « Le LuX révèle ceux qui osent, Clara. Vous êtes des nôtres, désormais. » Elle quitta le club secret cette nuit-là, la peau marquée par l’expérience, l’esprit enivré par une liberté qu’elle n’avait jamais soupçonnée. Le LuX n’était pas un simple lieu : c’était un miroir, et Clara venait d’y découvrir son reflet le plus audacieux, élégant dans son indécence.
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