Récit : Dans les bois...
L’été dernier, ma femme et moi, nous sommes aventurés dans un bois isolé près de chez nous, où elle pouvait se transformer en une allumeuse irrésistible. Elle avait enfilé un mini-short moulant qui épousait ses fesses comme une seconde peau, un débardeur blanc aux bretelles si fines qu’elles semblaient prêtes à craquer, et des talons aiguilles qui claquaient sur le sol comme un défi lancé à la nature elle-même. Dans les sous-bois, ses seins se dressaient, provocants, leurs pointes durcies tendant le coton jusqu’à le rendre presque transparent, une promesse insolente dans l’air chargé d’humidité. Nous arpentions les sentiers sinueux, nos pas étouffés par la mousse, tandis que je la mitraillais de photos – le flash déchirait la pénombre, capturant chaque courbe, chaque frémissement de sa peau dorée. « Libère un sein », ai-je murmuré, la voix emplie de désir. Elle me lança un regard brûlant, glissa une main sous son haut et dévoila un téton rose et insolent, puis l’autre, jouant avec mes nerfs. « Tout », dis-je. Sans un mot, elle arracha son débardeur, le tissu froissé tombant à ses pieds, et s’offrit, son short minuscule soulignant la cambrure parfaite de son cul. Mon sexe grossissait, prisonnier de mon jean, tandis que je zoomais sur elle, capturant cette sauvagerie érotique. Elle captait mon excitation, ses yeux s’attardant sur la bosse qui déformait mon pantalon. Avec une démarche féline, elle s’approcha, se laissa tomber à genoux dans la terre humide et odorante, et libéra ma queue d’un geste expert. Sa bouche, chaude et veloutée, m’engloutit avec une lenteur calculée, sa langue dansant sur ma peau tendue. Je continuais à la photographier, le flash illuminant ses lèvres rouges serrées autour de moi, ses seins frémissant à chaque mouvement, leurs pointes raides trahissant son propre désir. Ses gémissements, étouffés par ma chair, vibraient contre moi, et je râlais, perdu dans cette extase brute. Soudain, un craquement sec brisa l’air. Elle releva la tête, ses yeux scrutant les ombres, mais rien ne bougeait. Avec un sourire provocant, elle reprit ma queue, plus vorace, ses lèvres glissant jusqu’à la base, me faisant trembler. C’est là que je le vis : à une dizaine de mètres, un homme, silhouette furtive derrière un tronc, les yeux rivés sur nous. Mon pouls s’emballa, l’excitation décuplée par ce regard, mais il disparut dans les fourrés, me laissant sur ma faim. « Lève-toi et penche-toi », lui ordonnais-je, la voix tremblante de désir brut. Elle s’exécuta, cambrée, jambes écartées, son cul offert comme une œuvre d’art païenne. Ma main plongea entre ses cuisses – elle était trempée, sa chaleur liquide luisant sur ses lèvres gonflées. J’enfonçais un doigt, puis deux, explorant sa moiteur brûlante de son corps ondulant comme une vague. Incapable d’attendre, je pressai ma queue contre sa chatte frémissante et la pénétra d’un coup violent, un grognement primal m’échappant alors qu’elle hurlait de plaisir. Je la baisais sans retenue, mes hanches claquant contre sa chair ferme, ses cris résonnant dans le bois comme une symphonie sauvage. Entre ses gémissements, des branches ont craquèrent à nouveau, plus proches. Je levais les yeux, flash en main, et ils étaient là : le voyeur, revenu, accompagné d’un complice. Deux silhouettes sombres, queues à la main, se branlant avec une lenteur hypnotique en nous dévorant des yeux. Leurs regards affamés m’enflammèrent, je redoublais alors de sauvagerie, la pilonnant comme un possédé pendant qu’elle se perdait dans ses hurlements. « Tu aimes qu’on nous mate ? » lançais-je, essoufflé. « Oui », souffla-t-elle, la voix cassée par l’extase. « Tu voudrais les voir se branler devant toi ? » « Oh oui, putain, j’adorerais. » « Et s’ils s’approchaient, tu ferais quoi ? » « Je les materais, je les branlerais, et s’ils sentent bon, je les sucerais direct. » Mon sexe tressaillit dans sa chaleur. « Et après ? » « S’ils me plaisent, je leur dirais de me baiser jusqu’à ce que je jouisse encore et encore. » Sa voix vibrait de luxure, et je les voyais, ces deux inconnus, bandant comme des bêtes, leurs queues luisantes dans la lumière tamisée, tandis qu’elle, tête baissée, criait son plaisir sans les apercevoir. « Appelle-les », lui dis-je, ivre de curiosité. Sans une seconde d’hésitation, elle hurla : « Venez vous branler devant moi, montrez-moi vos queues ! » Ils jaillirent alors des ombres, leurs pas lourds faisant craquer le sol, et elle sursauta, électrisée par leur audace. Je continuais à la prendre, implacable, tandis qu’ils se plantèrent de chaque côté de son visage, leurs sexes dressés comme des trophées. Elle releva la tête, ses yeux brillants de défi, et saisit une bite dans chaque main, les branlant avec une maîtrise me coupant le souffle. La petite quarantaine, rasés de près, bien montés – ils plongèrent leurs mains sur ses seins, les malaxant avec une avidité brutale, leurs doigts pinçant ses tétons jusqu’à la faire gémir plus fort. Ma vue était un tableau vivant : ma queue s’enfonçant dans sa chatte palpitante, ses mains s’activant sur ces deux inconnus, leurs grognements se mêlant aux nôtres. Puis elle engloutit une queue, l’aspirant profondément, ses lèvres étirées autour de la chair tendue, tandis que je la baisais avec une fureur redoublée. Elle alternait, vorace, passant de l’un à l’autre, avant de me lancer, la voix rauque : « Fais-moi tourner. » Je me retirais alors, le corps tremblant, et me plaçais devant elle, ma queue luisante à quelques centimètres de son visage. Le premier homme la contourna, enfila une capote avec des gestes fébriles et la pénétra d’un coup brutal, arrachant un cri guttural à ses lèvres. Elle le stoppa net : « Laisse ton pote, maintenant. » L’autre prit sa place, la pilonnant avec une sauvagerie qui faisait trembler son corps entier. Puis, dans un élan de domination, elle le poussa à terre, s’empala sur lui face à nous, et reprit nos queues dans sa bouche, alternant avec une frénésie animale. Le type à mes côtés craqua, son souffle devenant un râle désespéré avant qu’il ne gicle sur ses seins, des jets épais éclaboussant sa peau. Furieuse, elle le chassa : « Tu as joui sans ma permission, dégage d’ici ! » Il tituba en arrière, vaincu, et disparu. Nous étions trois, désormais, dans cette danse brûlante. « Prends sa place », m’ordonna-t-elle, impérieuse. Je m’étendis sur la terre humide, et elle s’assit sur ma queue, dos à moi, m’offrant une vue obscène sur sa bouche qui engloutissait l’inconnu. Puis elle se releva légèrement, guida ma bite vers son cul et s’empala dessus, son anus m’enserrant comme un étau brûlant. Elle criait, le plaisir la déchirant, avant de s’allonger sur moi, ses seins écrasés contre mon torse, et de lancer au deuxième homme : « Viens remplir ma chatte, elle est à toi. » Il se jeta sur elle, sa queue plongeant dans sa fente béante, nos sexes se frôlant à travers la fine paroi de sa chair. Ses hurlements déchiraient l’air, sauvages, tandis qu’elle nous suppliait de la défoncer plus fort. Son corps s’arqua, tendu à l’extrême, et dans un cri primal qui fît vibrer le bois, elle jouit, son orgasme me précipitant dans le mien – j’explosais dans son cul, un torrent brûlant la remplissant. L’autre s’est retira, pantelant. « Tu as joui ? » demanda-t-elle, impitoyable. « Non, Madame », murmura-t-il. Elle saisit sa queue, le suça avec une voracité démoniaque, ses lèvres serrées autour de lui, sa langue le caressant jusqu’à ce qu’il tremble de tout son corps. Il grognait, ses hanches tressautant, elle l’aspirait plus fort, l’enfonçant profondément dans sa gorge jusqu’à ce qu’il jouisse, un flot chaud et salé inondant sa bouche. Elle ferma les yeux, un sourire satisfait aux lèvres, et avala lentement, chaque gorgée marquée par un léger frisson de plaisir. Puis, le relâchant, elle le fixa d’un regard froid : « Tu as fini, tu peux partir ! » Il s’éclipsa, ombre fugitive. Elle remit son short, la peau encore luisante de sueur et de désir, et nous reprîmes le chemin, essoufflés, le cœur battant à l’unisson. « Tu as été dure avec eux », lui dis-je, un rire dans la voix. Elle me fixa, un sourire carnassier aux lèvres : « C’est moi qui décide, toujours. » Alors nous avons ri, complices, dans l’écho de ce bois qui garderait nos secrets.
Pas encore de commentaires ! Qu'attendez vous ?