Publié le 07 janvier 2024
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Depuis longtemps je fantasmais sur le fait de me retrouver dans un cinéma porno mais le manque d’hygiène m’en empêchait. Alors lorsque l’on m’a proposé une séance particulière au LuX, je n’ai pu refuser. Je savais que les hommes seraient tous parfaitement sélectionnés et que l’hygiène serait irréprochable.

En arrivant ce jour-là, je sens une boule me serrer le ventre, suis-je un peu trop téméraire de venir seule dans ce lieu ? Trop tard pour reculer.
Mon entrée dans la pénombre provoque une certaine sensation. Une dizaine d’hommes éparpillés dans la petite salle me regardent.
Je choisis un siège au milieu de la salle. Je veux qu’ils me voient relever ma jupe. Je suis venue pour jouer, mais la situation me stresse et m’excite à la fois.
Le moment fatidique arrive, le film commence « L’initiation d’une femme mariée ».
Après quelques minutes, deux hommes qui se trouvent à quelques mètres de moi se lèvent et viennent se placer à mes côtés.
Celui, qui est à ma droite déboutonne son pantalon et en extrait un sexe dressé. Tout en m’observant, il se masturbe. Je détourne mon regard feignant de m’intéresser au film.
Sur l’écran la jolie brune se donne à son mari.
Soudain, la main de l’homme à ma gauche se pose sur ma cuisse dénudée. Avec ma main, je bloque la remontée vers mon string. Nos regards se croisent malgré la pénombre. Il me sourit gentiment en me faisant comprendre de retirer ma main de la sienne. Je cède et me remets à regarder le film tout en matant l’autre homme du coin de l’œil. Il se masturbe lentement, son sexe a de fort belles dimensions, large et long.
Un peu perturbée, je tente de regarder de nouveau le film, où le mari de la jolie brune la fait cocue.
La main de mon voisin s’empare de la mienne et la pose sur sa queue. Surprise, je la retire, mais il ne la lâche pas et la repose sur son pieu. Cette fois, je ne me défile pas et entreprend de le masturber moi-même, ne suis-je pas là pour ça ?
Mon voisin de gauche en a profité pour atteindre mon string, il fait aller venir son doigt sur ma fente à travers tissu. Ma petite chatte ne met pas longtemps à s’humidifier. Mes cuisses s’écartent d’elles-mêmes afin de lui donner un libre accès. Je glisse un peu sur mon siège pour avancer mon ventre. La masturbation de mon autre voisin porte ses fruits. Quelques soubresauts et un chaud liquide s’écoule sur ma main, il se tourne à demi et gicle sur mes cuisses et ma jupe.
Je reçois l’offrande de sa queue avec un doux sentiment du devoir accompli, le trac m’a quitté pour faire place à une grosse envie de me faire prendre.
L’homme satisfait, se lève et part. Cinq autres viennent se placer à côté, devant, derrière moi. Je m’abandonne à leurs mains inquisitrices. Mon premier attoucheur, me demande de lever mes fesses afin d’ôter mon string. Obéissante, je m’exécute, mon petit bout de tissu se retrouve au sol. Qui me relève mon top, je n’en ai aucune idée ? Néanmoins, je lève les bras pour laisser faire. Des doigts se glissent dans ma fente. Je coule comme une jeune fille lors de ses premières découvertes sexuelles. Ils farfouillent de plus belle dans ma chatte trempée. Un homme debout derrière moi me tire les cheveux afin que mon visage soit bien en arrière pour me mettre sa queue sur les lèvres.
L’effet de ma langue sur son gland obtient vite raison de lui et un épais liquide gicle au fond de ma gorge et sur mon visage. Les filets de jus coulent sur mes joues. Un autre prend sa place ne me laissant pas reprendre ma respiration. J’en avale trois de suite, ma bouche déborde, je me régale, j’essuie les coulées qui risquent d’aller dans mes yeux.
Après ces amuse-gueules je me place à genoux sur le siège me trouvant face à plusieurs queues tendues, les fesses bien en arrière, croupe offerte. Une première queue se présente entre mes petites lèvres dégoulinantes, et n’a aucun effort à faire pour envahir mon vagin. Entre-temps, je m’applique à sucer les trois de devant en même temps, les queues bien raides se glissent tour à tour dans ma bouche, quelquefois deux ensemble.
Enfin j’obtiens ce pourquoi je suis venue dans ce cinéma, me faire partouzer en public par tous ces hommes. Depuis le temps, j’avais une envie folle de vivre ma première expérience hard au ciné.
Les queues se succèdent dans ma chatte je ne suis plus qu’une poupée ivre de plaisir. Un homme s’allonge entre les sièges et me demande de venir placer mon petit trou sur son gland enduit de ma cyprine. Ce n’est plus un cinéma, mais un vrai lupanar. J’ai juste le temps d’apercevoir la jeune actrice qui goûte aux joies de l’échangisme.
Je m’empale en douceur sur le gros pieu proposé à ma pastille qui résiste un peu, puis sous ma poussée, elle se dilate et je descends sur la tige de chair. L’homme me saisit les seins et me couche sur lui, enfilant sa queue dans les ténèbres de mon cul. Mon étroit passage accepte bien le pénis envahisseur.
Un autre gland s’avance conquérant vers ma chatte dégoulinante. Une double dans un cinéma, je ne pouvais pas rêver mieux. Comme si je n’avais qu’un seul trou je sens leurs queues se toucher, elles s’activent en moi, déclenchant un orgasme sismique dans tout mon corps. Je jouis à ne plus finir, pendant qu’ils continuent le ramonage de mes orifices.
Que c’est bon de se faire prendre par plusieurs, c’est un fantasme dont j’ai rêvé mille fois, mais jamais je n’ai osé franchir le pas.
Je n’arrive plus à savoir combien ils sont, cinq, sept, onze, aucune idée. Mais l’envie de me mettre à genoux face à toutes ces queues dressées et pleines est trop forte.
Je m’exécute, je me caresse et ouvre grand la bouche en les regardant se branler jusqu’à m’inonder de sperme…