Récit - Gang Bang – Le Fantasme de Laure

Laure rêvait d’assouvir un fantasme inavoué depuis trop longtemps : se retrouver actrice principale d’un gang-bang. Elle souhaitait se sentir totalement dépravée, dégoulinante, mais surtout ne pas perdre une goutte de ce que les hommes lui donneraient.
Cette perspective excitait également beaucoup son homme qu’elle avait réussi à convaincre de ne pas limiter le nombre de participants. Elle ne voulait pas être trop précise en termes d’exigences d’âge, d’origine, de corpulence ou de condition physique. Son souhait premier était d’avoir de nombreuses queues là pour la remplir, et rien que pour la remplir !
Ses critères non négociables étaient les suivants : des test hiv/mst récents, une hygiène impeccable, et des participants au sperme abondant, dense et épais, n’ayant pas éjaculé depuis plusieurs jours.
A l’approche du jour J, elle ressentait un mélange croissant de stress et d’excitation... et bien plus que l’appréhension du gang-bang en lui-même, c’est surtout l’après qui l’angoissait :
Comment son mari la verrait ensuite ? Leur vie de couple serait-elle chamboulée ? Serait-elle capable de retrouver une vie sexuelle normale ?
Le jour venu, elle était dans sa bulle.
Son mari était très excité et savait qu’il ne bénéficierait pas d’un statut prioritaire par rapport aux autres participants, sauf à guider leurs faits et gestes selon une trame qu’ils avaient préalablement élaborée.
Le soir venu, en entendant l’arrivée des premiers hommes, elle eut le sentiment de rentrer dans une nouvelle dimension. Il lui était difficile de savoir le nombre exact d’hommes, certains arrivant à plusieurs ou en même temps... Elle sentait sa chatte palpiter, tel un compte à rebours.
Lorsque tous furent installés, son homme lui indiqua à travers la porte de la salle de bain que tout était prêt et qu’elle pouvait à présent sortir lorsqu’elle le souhaiterait.
Son impatience ne les fit pas attendre plus de 5 secondes ! Sans avoir rencontré les participants, elle décidait d’arriver seule, muette et toute tremblante, complètement nue, les tétons en pointe.
Les hommes étaient en érection, se branlant pour elle, certains avec des pénis dressés comme elle n’en avait encore jamais vu ! Elle prit alors conscience de la folie de la situation, mais aussi de l’impossibilité à ce stade de reculer.
S’exécutant en mode automatique, elle se mis au centre, à quatre pattes.
Les hommes s’approchèrent avec la consigne de disposer leurs mains où bon leur semblait, mais sans la doigter. Les premières caresses devinrent rapidement des massages appuyés. Ces multiples palpations l’excitèrent particulièrement. Dès que sa fréquence respiratoire s’accéléra et que des petits gémissements se firent entendre, ils furent autorisés à vérifier l’humidité de sa chatte qui était dégoulinante d’excitation.
Assez rapidement, les premiers sexes bandés vinrent frôler ses lèvres, et lorsqu’elle ouvrit la bouche en regardant son mari, celui-ci comprit que le jeu avait bel et bien commencé. Alors que l’on s’introduisait tour à tour dans sa bouche, sa chatte fut à nouveau sondée par quelques doigts ou langues jusqu’à ce qu’elle commençe à réceptionner les premiers pénis dans son vagin, à tour de rôle... L’objectif était de lui administrer une éjaculation la plus profonde et abondante qui soit, avant de se désinsérer d’elle et que le suivant la pénètre immédiatement après. Les grands coups de glands inlassablement répétés devaient permettre aux éjaculations précédentes de demeurer au fond de son vagin.
Lorsque du sperme commença à ruisseler sur ses petites lèvres, les divers pénis réinsérèrent les gouttes expulsées. Les participants ne se gênaient pas pour lui saisir les fesses, lui écarter les cuisses et s’introduire dans sa chatte souillée. Certains devaient y revenir plusieurs fois parce qu’il arrivait qu’on soumette à sa bouche des demi-molles souillées, pour qu’elles soient ensuite réintroduites dans mon vagin, où elles finissaient de durcir à nouveau.
Comme il fallait s’y attendre, son vagin dégorgea bientôt de plus en plus, d’autant que ses muqueuses vaginales subissaient des doigtages intempestifs. Son mari se souvint que dans le scénario qu’ils avaient élaboré, le remplissage de deuxième intention serait réalisé dans les profondeurs de son anus, dans l’éventualité où sa chatte ne serait plus capable d’absorber les assauts de foutre des participants.
Pour la première fois, son époux reprit le commandement du déroulé de la soirée, en la retournant sur le ventre et en bloquant sa tête entre ses cuisses. On se mit à saisir ses hanches pour l’inviter à bien se cambrer, la tête toujours plaquée contre le matelas. Son mari écarta fermement ses fesses afin d’exposer son anus. Elle sentit un gros gland prélever le sperme régurgitant de sa chatte, en la raclant du clitoris jusqu’au pourtour de son anus. Après avoir délicatement caressé sa rondelle pour la tartiner de ce lubrifiant naturel, le chibre en question lui tapota l’entre-fesses et lui infligeât la première pénétration anale de la soirée. Avec la même cadence de pénétration, on se mit à décharger à la chaîne dans ce nouveau terrain de jeu. Passive, bloquée par son mari, ses gémissements étouffés dans le matelas, elle fermait les yeux pour apprécier les spasmes de ces multitudes de pénis au moment où ceux-ci éjaculaient un à un dans son antre intime.
Alors qu’on s’acheminait vers la fin de la partie (les participants s’étant peu à peu éclipsés pour aller se doucher et se rhabiller...), elle faisait tout ce qui était en son pouvoir pour recueillir le dernier don de son ultime sodomisateur de la soirée. Tandis qu’elle se faisait limer désespérément l’anus à cette fin, son mari (qui en bon candauliste, avait été peu actif jusque-là, se contentant d’organiser et d’observer ma performance) dégagea soudainement sa tête et lui enfourna in extremis son sexe turgescent dans la bouche. Il éjacula alors puissamment au fond de sa gorge dans un cri de jouissance absolue : le pauvre s’était tellement retenu que ses bourses avaient fini par craquer... Son mari n’avait pas terminé de se vider dans ma bouche qu’elle sentit quasi simultanément l’autre cochon la gratifier d’une ultime éjaculation anale, dans un cri de soulagement tout aussi sauvage... 2 pénis enfoncés jusqu’à la garde et dégorgeant simultanément : Quel beau bouquet final...
Essorés, ses deux étalons l’abandonnèrent alors, gisante, ses trous béants dégoulinant de sperme... La poupée apprêtée qu’elle était en arrivant avait fait l’objet d’un carnage : recouverte de fluides séchés des cheveux jusqu’aux ongles de ses orteils, la bouche usée, les tétons mâchouillés, le clitoris mordillé, elle était lessivée... Ayant relâché son périnée, ses petites lèvres écarquillées ne pouvaient à présent plus retenir le contenu vaginal, lequel se déversait inlassablement tandis qu’elle commençait à m’assoupir. Le brouhaha résultant du débriefing de ces messieurs dans la salle de bain ne l’empêcha pas de se jeter dans les bras de Morphée.
Mon mari lui confia qu’après le départ de mes inséminateurs, il n’osa pas la réveiller, et la recouvra simplement d’un drap propre avant d’éteindre la lumière. Le lendemain matin, il patienta jusqu’à son réveil. Empreint d’une gaule matinale extrême, il la supplia de mettre à sa disposition ses trous, prétextant qu’il souhaitait marquer son territoire à l’intérieur de chacun de ses orifices souillés. Elle accédait à sa demande et le laissait la baiser une ultime fois, par la chatte, et par le cul. Ses orifices souillés de la veille le firent fort heureusement éjaculer rapidement. Dès lors, elle put enfin faire sa toilette intime tandis que ses muqueuses devaient par la suite rentrer dans une période d’abstinence et de rééducation, après ces assauts multiples.
Pour une grande première, ce fut une expérience très réussie. Être le point de soulagement de tous ces mâles lui a prodigué un sentiment de bien-être infini. À cet instant précis, elle s’est sentie la reine de l’humanité tout entière. Elle n’avait ressenti ce sentiment d’utilité extrême, à concentrer les besoins et les pulsions de tous ces hommes. Elle a aimé ça à un point stratosphérique ! Moins de 24 heures après, le fait de ressasser son gang-bang insémination la fit mouiller, maculant son string de cet enduit blanchâtre tenace qui continuait vraisemblablement de tapisser son vagin. C’est dire à quel point il était rapidement devenu naturel pour elle de renouveler tôt ou tard l’expérience…

Nous remercions l’auteur de ce récit, réel ou imaginaire. Les récits ne reflètent pas nécessairement les pratiques qui peuvent se dérouler au LuX mais sont là pour faire voyager les lecteurs dans un monde d’excitation.

GainzXy

06 décembre 2023 - 15h50 Répondre

J'y étais (dans mon esprit) excellent récit, ça m'a donné une vraie trique, une de celle qui renverrai une balle de cricket hors des limites, ahaha! Très cochon, juteux a souhait, je vous découvre depuis hier soir.... Encore !

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